1. La leçon d'Isabelle


    Datte: 28/04/2021, Catégories: fh, fagée, jeunes, frousses, copains, odeurs, Oral préservati, pénétratio, jeu, init, humour,

    ... installa. Les deux filles ne se connaissaient pas. D’ordinaire, Isabelle déjeunait dans un tout autre secteur, avec les gens de sa fac et de son âge. Elle me cherchait donc ! La joie et l’embarras se disputèrent en moi. — Charlotte, une copine de fac. Isabelle, la meilleure amie de ma sœur. Lorsque Charlotte faisait mine d’ouvrir la bouche, je l’interrompais pour dire n’importe quoi, soit à elle, soit à Isabelle. Ni l’une ni l’autre n’étant idiote, je me rendais bien compte que j’étais en mauvaise posture. Le dessert fut mangé en silence. Pendant la séance de travaux dirigés qui suivit, Charlotte me fit savoir qu’il était clair qu’entre cette vieille et moi, il y avait quelque chose, que j’étais un sinistre individu et qu’elle ne voulait plus jamais me revoir. Bon, une de perdue… une de perdue, comme disait l’autre. Isabelle arriva bien après moi rue Sainte-Opportune. J’avais ouvert ses tiroirs, contemplé ses sous-vêtements, humé son pyjama, préparé une salade composée. — Oh, c’est gentil ! Mais tu attends peut-être quelqu’un ?— Toi.— Pas cette petite Charlotte ?— Non. Jalouse ? Tiens donc ! — Délicieuse, ta salade. Dis-moi, cette Charlotte, elle fait partie de la cohorte des filles folles de leur corps et du tien ?— Je me suis un peu vanté, tu vois.— Tu as couché avec elle ?— Je n’ai encore couché avec personne, Isabelle. Le repas fini, la télé fut allumée puis éteinte. Il était bien tôt pour se coucher, mais tant pis. Isabelle alla dans la salle de bains. Je l’y ...
    ... remplaçai. Comme elle aurait pu être intéressée par une verge aussi gonflée que l’était la mienne, je n’ai pas tout à fait fermé la porte quand est venu le moment de me doucher. Enfantillage. Quand j’en sortis, en peignoir rose comme la veille, elle était dans la cuisine, en pyjama devant l’évier. L’eau du robinet coulait avec le frémissement sourd d’un effet de bélier généré par la vétuste installation. Tout était symbole dans cet appartement. — J’avais soif. Il fait chaud, hein ? Première vague de chaleur de cette année. Pas sommeil, moi. Et toi ?— Pas du tout.— Une partie d’échecs ? Tu étais de première force, quand tu étais petit. Audrey m’a dit que tu avais gagné un tournoi, en cinquième. Le prix en était un livre :Initiation au jeu d’échecs. Sublimes, les fesses d’Isabelle sous le souple pyjama, quand elle se mit sur la pointe des pieds pour attraper le jeu, en haut de l’armoire ! Ensuite, assise en face de moi, elle se mordait les lèvres, et quand elle se penchait pour déplacer une pièce, je voyais alors la naissance de ses seins et même parfois un peu plus. — Tu n’es pas à ton jeu, Julien. Tu penses à Charlotte ?— Pas du tout ! Tu as des seins superbes, Isabelle.— Je crois bien que je suis en mesure de prendre ta tour, Julien.— …Tu veux que j’écarte mon peignoir ?— Idiot ! Tu as tellement envie de moi ?— Oui.— Si tu étais en face de Charlotte, tu désirerais Charlotte. Et tu ne saurais même pas t’y prendre. Tu es impulsif, tu te jetterais sur elle avec trop de vivacité, de ...
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