1. La leçon d'Isabelle


    Datte: 28/04/2021, Catégories: fh, fagée, jeunes, frousses, copains, odeurs, Oral préservati, pénétratio, jeu, init, humour,

    ... brutalité peut-être. C’est fragile, une jeune fille. Tu l’as déjà embrassée ?— …Un peu.— Sur la bouche ?— Oui, mais à quoi bon ces questions ?— Je ne cherche qu’à te rendre service, Julien. Tu vas inviter Charlotte pour le week-end, ici. Moi je serai en Savoie, on m’y attend.— Oh, c’est bien ma chance !— Pense à Charlotte. Elle est très fâchée ?— Elle m’a dit qu’elle ne voulait plus jamais me revoir.— Si Charlotte est jalouse, Charlotte est amoureuse. Titus. Moi aussi je peux faire la pédante. Vos langues se sont un peu palpées, pendant votre baiser ?— J’ai bien essayé mais elle n’a pas vraiment desserré les dents.— Il faut passer la langue sur la gencive supérieure. Les dents sont comme les touches d’un piano ; tu montes et tu descends la gamme, et le piano s’ouvre… Tu veux que je te montre ? Elle se leva. Se fichait-elle de moi ? Non, Isabelle avait la bouche entrouverte, elle attendait que je l’embrasse ! Mon coeur battait à se rompre. Quand mes lèvres s’appuyèrent sur les siennes, elle me repoussa. — Pas si brutal, n’écrase pas mes lèvres. Sois plus doux… Voilà ! Elle s’écarta légèrement. — Je vais tenir mes lèvres fermées. Tu passeras un peu ta langue dessus, pour les supplier de s’entrouvrir. Après, je t’ai dit ce qu’il fallait faire pour franchir l’obstacle des dents. Moins de fougue, Julien. Recommence. Non, ne touche à rien d’autre ! Laisse mes seins tranquilles. Bon, fin de la première leçon. Ton cheval est en mauvaise posture, je crois que tu vas perdre.— J’ai ...
    ... perdu. Mais j’ai gagné un merveilleux baiser.— N’exagérons rien. Tu peux mieux faire.— On recommence ?— Une nouvelle partie pour la revanche, mais si tu veux, Julien.— Je pensais : un nouveau baiser.— Pourquoi pas ? J’ai bien failli déshonorer le peignoir de ma sœur, mon bas-ventre collé contre celui d’Isabelle, qui ne reculait pas. Mais elle se remit ensuite devant l’échiquier et disposa les pièces. La nouvelle partie commença. — Tu attaques brutalement, tu fais l’échange des pions très vite, et tu abandonnes facilement un cheval contre une tour. C’est assez bien vu, parce que tu gagnes la diagonale du fou. Tu es quand même un peu trop impétueux. Tu m’as fait mal, tout à l’heure, en me tripotant les seins. Si tu agis de la sorte avec Charlotte, je comprends qu’elle soit réticente. Tu l’as pelotée, déjà ?— Un peu, au cinéma.— Il ne s’agit pas, tu comprends, d’empoigner les seins comme s’ils étaient des citrons à presser, ou des oranges, ou des pamplemousses. Chez elle, ce serait plutôt citrons, hein ?— Les tiens sont bien plus beaux.— Les petits seins ont leur charme. Les miens sont plutôt oranges, ou pommes, n’est-ce pas ?— Ils sont parfaits. Quand tu te penches comme ça, je deviens fou.— Et lorsque tu y mets la main, tu les brutalises, alors qu’il faut les frôler délicatement, d’un doigt de fée tourner autour de leur pointe, la presser très tendrement entre le pouce et l’index. Essaie. Elle restait assise. Je me mis à genoux et glissai la main sous la veste de pyjama. — Voilà, ...
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