Maria-Consuela, la Colombienne
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
volupté,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fdanus,
fsodo,
init,
... petit œil amusé et complice, nous sommes restés enlacés durant de longues, de très longues minutes. Contre mon corps, je sentais le sien : chaud, brûlant, sensuel. Ses lèvres étaient aussi douces que de la soie. Sa langue fouineuse et gourmande. Ses mains caressantes et indiscrètes. Sa poitrine moelleuse se soulevait avec difficultés au rythme de notre baiser. J’en sentais poindre les bouts, qui s’excitaient contre mon torse, devenir durs et pointus. De temps à autre, ses hanches et son ventre frottaient le mien avec volupté. Alors que minuit sonnait au haut clocher, j’eus soudain peur que la princesse, que je serrais enfin dans mes bras, ne se transforme en Cendrillon. Mais non, la vie n’est pas seulement faite de contes de fées et au douzième coup, au lieu de s’évanouir dans l’escalier de la bouche de métro qui était à deux pas ou fuir dans un taxi, elle m’a susurré à l’oreille, en mordillant mon lobe : — J’ai envie de toi ! Emmène-moi chez toi… Voilà la petite phrase que j’attendais depuis tant de temps, mais que je ne voulais surtout pas provoquer de peur de la blesser ou la perdre. Ce sont ces quelques mots qui me mirent immédiatement en transe. Main dans la main, nous avons sauté dans le premier taxi pour rentrer chez moi. Dès la porte de mon appartement refermé, Maria-Consuela se collait à nouveau contre moi et posait goulûment ses lèvres sur ma bouche. Cette fois, loin de la foule, mes mains pouvaient explorer nerveusement son corps, palper, tâter, toucher, ...
... empaumer. Elles étaient électrisées, voulaient tout toucher, tout explorer, tout savoir d’elle et de son intimité. Plus mes mains se faisaient indiscrètes, coquines, plus ses hanches se frottaient à hauteur de mon pantalon, où elles agaçaient mon sexe en érection. Au milieu du trajet, entre la porte d’entrée et la chambre à coucher, alors que je l’avais déshabillée, elle fit tomber mon pantalon, me retenant avec ses mains, elle se mit en position de me prendre dans sa bouche. La caresse qu’elle m’infligea, là, debout appuyé contre un mur, fut divine. Sa langue me semblait être partout en même temps. En haut de mon gland, à sa base, au niveau de mon ventre. Avec un mélange savant de caresses buccales et manuelles, alternant des aspirations profondes ou de simples affleurements de sa bouche, elle réussit à faire monter mon plaisir jusqu’à l’orgasme dont elle se barbouilla les seins avec volupté et ravissement. Un peu confus de n’avoir pas pu ni su retenir mon plaisir, je la soulevais et l’entraînais vers le lit pour rendre hommage à son corps. Sans retenue, je plongeai sur elle pour me repaître de ses chairs, de son plaisir. La vue et le contact de sa peau, ambrée, de ses seins, fruits gonflés de la sève de son plaisir qui portaient en bout deux larges tétons bruns violacés excitaient mes sens. J’ai dû lui paraître un sauvage sevré de femmes durant des mois. Pourtant, elle ne dit rien ou, plutôt, miaula et feula dès que ma bouche s’empara de la pointe de ses mamelons et qu’elle lui ...