1. Maria-Consuela, la Colombienne


    Datte: 05/05/2021, Catégories: fh, couple, amour, volupté, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fdanus, fsodo, init,

    ... suçota. Le grain de sa peau doux et satiné, l’odeur et le goût d’épice qui s’en dégageait me montaient à la tête. Sous moi, je sentais son corps se raidir, onduler, louvoyer. Les deux mains sur ma tête elle me repoussait doucement vers son ventre. L’invitation était claire et franche. J’abandonnais sa poitrine qui s’alourdissait sous les vagues de plaisir pour explorer son intimité. Mon nez dans l’épais buisson de son pubis, ma langue fouillait déjà le haut de son sexe à la recherche de son petit bouton d’amour. Je le trouvai facilement et elle m’ouvrit largement ses cuisses pour que je puisse mieux l’aspirer, le mordiller, le sucer. Elle avait conservé ses mains sur ma tête et agrippait mes cheveux pour me guider vers ses zones ultrasensibles. Ainsi je découvrais son sexe. Une zone profonde, humide, chaude. Les crêtes de ses lèvres, charnues, grasses et très brunes, comme des charbons de bois, s’ouvraient sur un antre rosâtre aux odeurs entêtantes. Ce calice auquel je m’abreuvais, dans lequel je plongeais avec délectation ma langue, ressemblait à une fleur rare, une orchidée. Forme, couleur, odeur, contact… tout me ramenait à cette fleur exceptionnelle et précieuse. Et comme une fleur rare demande attention et soins, je m’appliquais à lui distiller mes meilleures caresses pour qu’elle s’épanouisse. Comme elle, j’alternais des lapées profondes pour tenter d’atteindre son point G, petite zone ultra sensible dans son sexe, avec des coups de langues de surface qui remontaient ...
    ... jusqu’à son clitoris. À chaque passage sur cette excroissance nerveuse, son ventre se soulevait et elle m’écrasait le nez sur son pubis, lâchant de longs soupirs de plaisir. À chacun de mes voyages, son sexe se trempait un peu plus. Elle m’inondait la figure, me barbouillait la bouche de ses liqueurs intimes. Le jeu aurait pu continuer encore longtemps si elle ne m’avait pas attiré en elle. Pesant sur son ventre, sa poitrine, je me suis retrouvé aspiré par son brûlant fourreau trempé. À mon intrusion, une série de spasmes de plaisir contractait ses muscles internes et me massait avec délectation. Retenant mon souffle, je voulais prolonger le plus loin possible notre plaisir, enfin surtout le mien de façon très égoïste. Mais ses hanches entamèrent une sarabande infernale, son ventre se mit à serpenter en nous infligeant un rythme infernal qui nous poussait vers le sommet de la jouissance. Une jouissance qui nous a laissés pantelants, exténués imbriqués l’un dans l’autre. Alors que je reprenais mon souffle, que mon cœur commençait à s’apaiser, ses mains ne cessaient de monter et descendre dans mon dos, y dessinant de voluptueuses arabesques qui achevaient mon plaisir, me faisaient frissonner. Autour de mon sexe, encore en elle, je sentais les derniers soubresauts de son plaisir jusqu’à ce que l’un d’entre eux, plus fort m’expulse. À peine avais-je eu le temps de m’étendre sur le dos que déjà elle était debout, pimpante, active. Elle ne voulait pas rester pour passer la nuit ici ...
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