Maria-Consuela, la Colombienne
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
volupté,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fdanus,
fsodo,
init,
... m’invitait à venir plonger ma fourchette dans ses assiettes, mais elle me fit la démonstration que le dessin animé « La Belle et le Clochard » de Walt Disney était un chef d’œuvre universellement connu. Au-dessus d’une table à la nappe d’une blancheur immaculée, nous goûtâmes un spaghetti à la sauce tomate, dans un grand bruit incongru de succion qui approchait nos bouches l’une de l’autre jusqu’à nous embrasser. Cette scène connue dans le monde entier, pratiquée ici à Venise, au milieu d’un restaurant italien, bourré de touristes qui nous regardaient avec de grands yeux effarés et envieux, nous valut une salve d’applaudissements qui fit rougir Maria-Consuela. Bien que gênée, rouge de confusion pour cette parodie, Maria-Consuela avait ri, cachant son visage dans sa grande serviette. De ce jour-là, nous avons aussi partagé nos plats, nos assiettes et nos verres. Enfin nous formions ce genre de couple que j’aimais, nous formions un « vrai couple », même si bon nombre de problèmes restaient en suspens. Avec ce séjour à Venise j’espérais aussi lui inculquer le plaisir de se réveiller dans les bras l’un de l’autre, le matin. De savoir profiter de l’éveil des sens et du corps de l’autre, au saut du lit. Démarrer une journée par un langoureux câlin, achever son plaisir sous la puissance d’un jet de douche, apprendre à jouer avec l’eau qui ruisselle sur les corps alanguis, voilà ce que j’avais alors à l’esprit. Mais de ce point de vue là, la partie n’était pas encore gagnée. ...
... Pourtant, c’est au cours de ce mirifique séjour, que Maria-Consuela m’offrit la dernière partie de son corps qu’elle m’avait jusque-là toujours refusé. Nous venions de terminer une longue et haletante séance d’amour. Elle venait de s’achever en une apothéose qui avait fait trembler les montants du baldaquin dont les tissus vibraient encore de ses cris quand elle m’entraîna, comme une diablesse, vers la salle de bain. Ah ! Les salles de bain des palaces ! Un véritable délice de Capoue pour qui sait s’en servir. Elle fit couler un grand bain chaud, dans une immense baignoire en marbre de Carrare. Dès que l’eau eut atteint la moitié de la vasque, elle coupa l’afflux d’eau. En s’asseyant sur le rebord de la baignoire, elle m’emboucha sans protocole, ravivant presque instantanément ma flamme. Elle jouait avec mon sexe. Elle usait de sa bouche comme si elle avait été son sexe. Sa langue savait se faire dure, enveloppante, taquine. Elle pouvait m’avaler d’un coup d’un seul ou au contraire se contenter d’exciter juste le bout ou de tout abandonner pour ne s’occuper que de mes bourses. Avec sa langue, elle me mettait au supplice et m’amenait toujours au bord de l’explosion. Si elle arrivait, elle s’en aspergeait les seins. Puis, en me fixant droit dans les yeux, la bouche légèrement ouverte, son petit bout de langue venant essuyer les quelques gouttes de mon sperme qui ourlaient ses lèvres. Le regard rieur et coquin, elle étalait alors lentement ma semence sur ses seins. Elle allait jouer ...