Maria-Consuela, la Colombienne
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
fh,
couple,
amour,
volupté,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fdanus,
fsodo,
init,
... avec un enthousiasme enfantin qu’elle avait accepté mon invitation. Au jour et à l’heure dite, nous embarquions pour Venise. Très sensible aux ambiances, dès notre débarquement et notre premier voyage en gondole pour nous amener au pied de l’hôtel Danieli, elle vint se serrer contre moi. Cette marque d’amour me remplit le cœur d’allégresse me laissant présager d’un doux et inoubliable séjour dans la capitale mondiale des amoureux. Un séjour qui se révéla encore plus enchanteur que je n’avais même osé l’imaginer. Nous sommes entrés dans une suite phénoménalement haute de plafond, avec une loggia qui donnait directement sur le Grand Canal. En face, l’île de San Giorggio Maggiore et sa basilique et de l’autre côté celle de Santa Maria della Salute et la fameuse Douane de mer. À peine avions-nous abordé notre chambre, que Maria-Consuela était nue, allongée au beau milieu d’un immense lit à baldaquins. Je restais là, un long moment à la contempler. Confondu par son corps doré, dont la couleur de la peau légèrement café au lait s’harmonisait si bien avec l’ameublement et les couleurs des tissus. En l’admirant, je pensais alors que j’avais là, allongée sur ce « matrimonio », une Odalisque d’Ingres, coulée dans son univers naturel. Mais mon Odalisque s’impatientait et j’ai dû ramper sur l’immense lit pour la rejoindre avant de m’attaquer à ses lèvres, à ses seins, à son ventre, à son intimité. Notre premier séjour hors des frontières de France s’annonçait sous les plus belles ...
... roucoulades et envolées amoureuses que le Danieli avait pu connaître jusqu’à notre arrivée. De son côté, Maria-Consuela ne restait jamais passive. Elle aimait pratiquer la position tête-bêche, me procurant autant de plaisir et de sensations que je lui en donnais. Nos corps, dans ces moments-là, étaient fusionnés, empêtrés, imbriqués l’un dans l’autre. Nous ne faisions qu’un. Nos extases se complétaient, s’amalgamaient, se répondaient. Ni l’un ni l’autre ne voulions lâcher prise. Nous nous aimions ainsi jusqu’à plus soif. Avec la taille gigantesque du lit du Danieli, nous pouvions rouler, d’un côté, de l’autre, tantôt elle au-dessus de moi, tantôt moi sur elle, sans risque de chute. Ce hors-d’œuvre à notre séjour nous laissa pantelants et avides de nos corps, car nous n’étions jamais rassasiés. Seule, la faim était capable de nous ramener à la raison. Dès ce moment, l’attitude amoureuse de Maria-Consuela changeait. Elle était câline, ne me lâchait pas la main, marchait à mes côtés. Elle acceptait mes baisers dans la rue et même venait en quémander. À table aussi son attitude était différente de celle que je lui avais connue jusqu’alors. Dotée d’un appétit d’ogresse, elle multipliait les plats, mangeait tout et pourléchait ses assiettes. Mais jamais elle n’avait accepté soit de goûter un mets dans mon assiette soit ne m’autoriser à aller dans la sienne, piocher une lichette d’un plat qu’elle affirmait succulent. Ici, à Venise, par enchantement, tout changeait. Non seulement elle ...