1. Un cadavre dans le placard


    Datte: 10/05/2021, Catégories: fh, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral humour, policier,

    ... trouvé. L’homme de cette photo que vous me montrez est…— C’est bien mon mari, oui !— Alors, désolée, mais il est…— Non ! Ce n’est pas possible !— Désolée, et je vous engage à aller voir les flics pour tout leur raconter. Parce que cette histoire de frangine… ils vont avoir du mal à l’avaler.— Mais… c’est pourtant vrai. Voyez donc cette photo, nous sommes toutes les deux sur le cliché.— Je sais et je vous crois, mais les policiers, vous savez comme ils sont suspicieux ?— Mon Dieu, mais dans quel pétrin me suis-je fourrée ? Je ne sais plus quoi faire.— Allez voir les flics… c’est votre seule planche de salut. Je jurerais que c’est pourtant bien vous cette nuit qui…— Mais ce n’est pas possible. Merde, alors. Les choses ne semblent pas aussi simples. La femme qui est là chiale d’un coup. Ben oui ! Je viens de lui raconter que son mâle est mort. Alors elle a ouvert les grandes vannes. Des bruits se font entendre pas très loin. Georges et son adjoint, ils arrivent. Ça me rassure, finalement. — Bonjour, Madame ! Puis-je avoir vos papiers d’identité, please ? Elle farfouille dans son sac en tremblotant. Puis elle extrait la pièce demandée. — Donc, vous êtes bien Madame Gauthier, née Mélancourt ?— Oui… oui… mais mon mari…— Je vous présente mes condoléances, Madame. Votre… j’ai besoin de vous pour reconnaître le corps.— Mon Dieu… c’est cette salope d’Astrid, c’est elle et son abruti de mec qui ont tout manigancé. Jean-Marc… les gênait sans doute et elle l’avait mis dans son lit. Je ne ...
    ... veux pas croire qu’ils me l’ont tué.— Vous voulez bien me suivre, Madame Mélancourt ? Nous devons aller reconnaître le corps de votre défunt mari.— Mon Dieu… ce n’est pas possible. Elle renifle à s’en fendre l’âme. Nous sommes tous repartis et Georges donne en anglais des instructions pour que les deux autres soient appréhendés. À notre retour au commissariat le couple est déjà là, menottes aux poignets. Le type assis sur un banc, dans le corridor, a une sorte de raidissement de tout son corps en me voyant passer en compagnie du vieux flic et de son collègue. La femme elle, ressemble comme deux gouttes d’eau à celle qui marche deux mètres derrière moi. Le type interrogé a mis près d’une heure avant de reconnaître les faits. Il m’avait bel et bien droguée. Pas pour me tringler, mais parce que je risquais d’être gênante. Il m’avait reconnue parce qu’il avait lui-même suivi Marylène alors qu’elle venait à mon bureau. Ce salaud et sa femme, frangine de la riche héritière, auraient ensuite avec un peu plus de temps fait disparaître Marylène. Astrid, avec les papelards de cette dernière, se serait alors fait passer pour elle. C’était sans compter sur la présence d’esprit d’un vieux cops londonien. Bien sûr il tient après toutes ces péripéties à m’emmener visiter les vieux quartiers. Et je ne dis pas non ! Reste la promesse, celle que je me suis faite toute seule, lorsque devant cette fichue fenêtre, nous observions les Massart qui tringlaient. Georges ne connaît rien de mes sombres ...