Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (3) : la rencontre avec Philippe.
Datte: 21/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... je ne l’avais jamais été. Philippe prenait d’infinies précautions pour ne pas me faire mal. Nos baisers interrompaient mes cris, mes hurlements de plaisir. Les voisins de chambre devaient penser qu’on était en train de m’égorger. • Oh Philippe, tu m’as fait attendre si longtemps, je savais qu’avec toi je ferai des choses que je n’avais jamais imaginées. • Tu aimes les gros calibres mon Olga. Je te trouverai des mâles qui te rempliront bien. • Ne dis pas de bêtises, je n’en veux pas, j’ai toi désormais. Philippe en profita pour me doigter le cul. J’aime me faire sodomiser et je lui ai demandé de remplacer son doigt par le gode, qui était de bonne taille car ma « porte étroite » avait déjà été bien préparée par plusieurs amants. • Oh chéri, que c’est bon. Casse-moi le cul pendant que tu me baise avec ton avant-bras ! Je t’aime, Philippe T. je suis à toi ! Dès ce premier soir, il dévoilait son candaulisme. • Je t’imagine embrochée entre deux mâles qui te besognent. Et même un troisième qui te baiserait la bouche. Tu ferais ça devant moi, mon amour, je le veux. Ses paroles m’excitaient et j’atteignais un état de retour. Ma jouissance fut dévastatrice. On dit que l’orgasme est une petite mort, je confirme, car ce soir-là je me suis presqu’évanouie : • Oh Philippe, mon amour, n’arrête pas ! Bien au fond, oui, comme ça. Oh je vais mourir. Je t’aimeeeeeeeeeeeeeeee. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Philippe se retira de ma chatte avec précaution, toujours ce souci de ne pas me ...
... faire mal. Il se montra ensuite d’une grande tendresse. J’étais blottie contre lui, apaisée, heureuse, amoureuse. Mais il me manquait quelque chose. Il n’avait pas joui, trop occupé à mon seul plaisir. • Philippe, j’ai envie de toi. Baise-moi. • Chérie, j’en ai envie, mais après ce qu’on vient de faire ça va te sembler bien fade. Tu dois être fatiguée. • Tais-toi, j’ai envie de toi, je veux ça depuis des semaines, ta queue en moi, que tu te vides dans ma chatte, que tu me fécondes. Je suis ta femme, je veux ta semence en moi! Je me suis mise à quatre pattes : • Viens me la mettre. Prends-moi en levrette ! Je ne me rendais pas compte que je le dominais et que je me servais de lui comme d’un instrument de plaisir. Il se positionna derrière moi et me pénétra dans cette position, qui est celle que j’affectionne le plus. Ses couilles pleines tapaient sur mes fesses. Il me besognait du mieux qu’il pouvait, mais il avait raison. Par rapport à mes amants habituels et surtout à ce que nous venions de faire, je ne sentais pas grand-chose. Et surtout depuis le temps qu’il retenait son plaisir il ne pouvait tenir longtemps. J’ai alors senti plusieurs giclées puissantes envoyées dans mon vagin. J’étais effectivement épuisée par tout ce que nous venions de faire. Mais je n’en n’avais pas fini tant que je n’avais pas bu son sperme. Ce fut à mon tour de le caresser, de le couvrir de baisers pour revigorer sa virilité. Grace à mon art, j’y suis parvenue assez rapidement. Je l’ai alors pris en ...