En passant par la Lorraine
Datte: 01/06/2021,
Catégories:
fh,
fhhh,
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inconnu,
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vacances,
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toilettes,
fsoumise,
Oral
pénétratio,
confession,
fhh,
... s’arrête à nouveau, me soulève plus haut, et enfin me pénètre, je ruisselle sur lui. Il s’enfonce dans mon ventre, loin au fond de moi-même, s’agite de bas en haut, me triturant les seins de ses paumes avides, me mordillant la nuque de ses dents acérées. À nouveau, je sens la jouissance monter en moi. Alors, d’un coup de reins, il me déserte, je me sens vide de lui. Je me retourne pour l’implorer de revenir en moi, il me sourit, et de sa main tendue, déverrouille la porte, qui s’entrouvre. Je pousse un cri d’effroi, un homme se glisse dans l’étroit local. C’est Rachid ! Il me fait face, coincé entre le lavabo et mes genoux, alors qu’Henri m’assied à nouveau sur lui en m’embrochant de son pieu. Je tente de crier mon refus, mais sa main me bâillonne, et le nouveau venu se repaît de mon corps dénudé sous ses yeux. Il se penche vers moi, m’ôte mon soutien-gorge dont mes seins débordaient, dégrafe son pantalon et son slip, son sexe est bandé, court, large, décalotté. Son bout ressemble à un gros champignon, probablement circoncis. Il l’avance vers mes lèvres, pendant qu’Henri reprend son pilonnage énergique. Je n’ai d’autre ressource que d’ouvrir mes lèvres et de le prendre en bouche. J’ai deux membres en moi, qui s’agitent de concert. Le plaisir me submerge, une main étouffe mes cris, deux hommes se vident en moi ! Je retrouve ce goût acre de la semence virile, saveur que j’avais presque oubliée. Je retombe, inerte, assise sur les genoux d’Henri. Rachid se rhabille, et sur un ...
... simple geste d’Henri, s’éclipse des toilettes. J’ai honte. Comment la mère de famille que je suis a-t-elle pu, abandonnant ses enfants, se laisser entraîner, un peu de son plein gré, dans une telle débauche ? Mon amant n’a pas bougé et me caresse, avec une surprenante douceur, les joues, les lèvres, la nuque, le dos, répandant malgré lui le sperme de son complice sur mon corps. Puis ses caresses m’apaisent. Il me dit : — Élodie, tu es une merveilleuse maîtresse, tu es super bonne, je te veux chienne pour moi. Enfin, je me relève, fais couler un peu d’eau pour effacer comme je peux les traces de ma luxure. Mon amant me regarde, me retourne vers lui, et, toujours assis, courbe ma tête vers lui d’un geste sans équivoque. Le diable a de sacrées ressources ! Je saisis son engin, me courbe jusqu’à lui. Il reprend instantanément une virile vigueur, je goûte au mélange de nos sucs. Ma langue le nettoie, mes lèvres le saisissent. Il imprime à ma nuque la cadence voulue. Je veux m’agenouiller, il me maintient courbée. La porte à nouveau s’ouvre brutalement, je me retourne : Kevin à son tour est entré ! Une main autoritaire m’impose de reprendre de ma bouche l’ouvrage bien entamé, deux autres se posent sur mes fesses, et Henri me pénètre d’une poussée rageuse. Quatre mains d’hommes jouent sur mon corps une symphonie endiablée, je suis devenue nymphomane ! Les violents coups de boutoir qu’impriment Kevin dans mes reins me projettent sur le sexe d’Henri, qui s’engloutit dans ma bouche. Je ne ...