Journal intime
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
fh,
hsoumis,
fdomine,
pied,
Oral
fsodo,
journal,
tutu,
policier,
hsoumisaf,
... Espèce de Pute ! vous ai-je hurlé en plein visage. Oh maîtresse comme je m’en veux maintenant. Mais sur le moment, je n’ai plus su me contenir. Je ne sais comment ma tête s’est retrouvée entre vos cuisses, mais ma langue a vite trouvé le travail qu’elle avait à faire. Vous étiez brûlante, maîtresse, si brûlante ! Il ne m’a fallu que quelques coups de langue sur votre clitoris pour vous faire jouir. Vous m’avez tiré par les cheveux en hurlant. — Oui ! Oui ! Oui ! Ahh c’est bon !! Oui !!! Vos cris résonnent encore dans mes oreilles. La colère et le désir se mélangeaient en moi. Je ne savais plus quoi penser. Mais je savais quoi faire. Notre relation venait de franchir un cap, un cap important. J’ai glissé ma langue en vous, partout où je pouvais le faire, de vos lèvres en passant par le creux de vos cuisses, pour finir sur votre anus. — Oui… Hmm ! Vous m’avez fait relever la tête pour que je vous regarde. — Tu vas lécher mes fesses, maintenant. Et applique-toi bien. Je vous ai retournée dans le lit, comme une crêpe, ma langue impatiente se frayant déjà un chemin humide le long de votre dos et dans le bas de vos reins. Oh, Maîtresse, ce que j’aime vous faire ça. C’est si bon. Vos belles petites fesses rondes frémissaient sous ma langue. J’ai passé ma main sous vous pour vous caresser le ventre. J’ai laissé un filet de salive se déposer sur votre anus frémissant, avant de l’embrasser doucement. Tout simplement divin. Lorsque j’ai enfoncé ma langue dedans, tout doucement, je vous ...
... ai entendu pousser un long gémissement d’extase. — Oh oui… Mets deux doigts dans mon sexe… J’ai obéi. Chacun de vos désirs est un ordre, Maîtresse, vous le savez. — Continue comme ça, et dès que tu sens que je vais jouir, tu t’arrêtes et tu m’embrasses les fesses, tout doucement… C’est ce que j’ai fait. Mes doigts allaient et venaient dans votre sexe, parfois je les ressortais pour les sucer, oh maîtresse, j’aime tellement boire votre nectar. Et quand je sentais que votre corps se cambrait de plus en plus, que votre souffle s’accélérait, que vos cris devenaient plus intenses, je retirais mes doigts, et je déposais de délicats baisers sur vos belles petites fesses. — Oh c’est trop bon… OH vas-y… Oui… Moi, je n’en pouvais plus, mon sexe était dur, tellement dur qu’il me faisait mal. Je l’ai pris entre mes doigts pour me masturber lentement. — Maîtresse, laissez-moi vous sodomiser, s’il vous plaît, s’il vous plaît ! Vous avez relevé la tête de l’oreiller pour me regarder. — Tu veux mettre ton sexe dans mes fesses ? Hein ?— Oui…— Demande-le-moi.— S’il vous plaît, maîtresse, je vous en prie, j’ai envie… Pour toute réponse ; vous avez écarté vos fesses de vos mains : — Viens… Avec un gémissement d’excitation, je me relevai et me plaçai au-dessus de vous, le sexe palpitant dans ma main. Je me suis doucement approché pour poser mon gland sur l’anus plissé et délicat. — Je ne vous fais pas mal ?— Vas-y doucement… Merde, presque plus d’encre. Oh non. Bon, on se calme. Je vais sûrement ...