1. Journal intime


    Datte: 09/06/2021, Catégories: fh, hsoumis, fdomine, pied, Oral fsodo, journal, tutu, policier, hsoumisaf,

    ... trouver un stylo quelque part. J’en ai pris un dans le salon, tout simplement. Je remonte quelques lignes plus haut, oh oui maîtresse, alors que j’étais sur le point d’entrer en vous. Je me souviens encore comme le contact de votre peau m’a électrisé, je me souviens des frissons qui m’ont parcouru l’échine lorsque j’ai doucement enfoncé mon sexe en vous, sentant votre corps se crisper, attentif à vos gémissements, redoutant de vous blesser. Que c’était bon ! Centimètre par centimètre, je me suis introduit en vous, luttant pour calmer les coups sourds de mon cœur dans ma poitrine, essayant de penser à tout sauf à cette chaleur moite qui enserrait mon sexe et qui me donnait envie de hurler. — Oh Maîtresse, oh oui… Je fermai les yeux en essayant vainement de me contrôler. Lentement, vous vous êtes étendue dans le lit, et je me suis allongé sur vous, toujours enfoncé dans vos petites fesses si divines. Dans les draps trempés de sueur et de sang, nous avons fait l’amour. J’ai emprisonné vos seins dans mes mains, ma bouche collée à votre cou, qu’elle parsemait de tendres baisers amoureux, votre souffle dans l’oreiller, oh Maîtresse, je n’oublierai jamais cet instant. J’ai voulu mourir de plaisir. — Hmm, oui, oui ! De plus en plus vivement, je me suis enfoncé, j’ai imprégné un rythme vite devenu frénétique. — Oui, oui ! J’ai senti l’orgasme arriver du plus profond de mes entrailles. J’ai encore accéléré le rythme, de plus en plus vite, vous faisant presque mal, mais je crois qu’à ...
    ... cet instant vous vous en moquiez. Plus fort, plus vite, je vous ai mordue à l’épaule, vous avez hurlé, plaisir et douleur mêlés, tandis que je vous écrasais contre le lit, de toutes mes forces, comme si je voulais vous faire passer à travers. — Vas-y, oui, oui !! Tout mon corps se crispa soudain dans un éclair de lumière, et j’ai senti le sperme jaillir hors de moi, dans vos fesses. Secoué par des frissons d’une intensité incroyable, je n’ai pu contenir un cri de plaisir rauque. Ensuite, vous êtes restée allongée sur votre lit sans rien dire pendant un moment. Moi, je ne savais pas vraiment quoi faire. Vous sembliez épuisée. Je vous ai recouvert avec une partie des draps qui n’étaient pas sales, et j’allais pour partir, quand vous m’avez dit : — Reste un peu.— Oui, Maîtresse, comme vous voulez. Alors je me suis assis au pied du lit et je vous ai contemplé. Vos yeux étaient rivés au plafond. Le mort commençait à puer un peu. Mais cela ne me dérangeait pas, Maîtresse. Tant que je suis à vos côtés, rien ne me gêne. — C’est comme ça que tu avais imaginé finir ?— Maîtresse, je ne comprends pas.— Petit, tu t’imaginais finir dans une cave, à te considérer comme un esclave ?— Eh bien, je ne sais pas. Petit, ils m’ont enfermé dans un endroit parce que je mettais le feu partout.— Le feu ?— Oui, j’aimais bien. C’était la première fois que je parlais de mon enfance à quelqu’un, Maîtresse. J’étais heureux que ce soit vous. — Tu crois que je suis contente de faire ça ? Tu crois qu’on m’a ...
«12...6789»