L'arroseuse arrosée
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
vengeance,
cérébral,
photofilm,
confession,
humour,
extraconj,
... mâles prétentieux et sûrs d’eux ; me voilà dans le rôle de la femelle consentante ! Après bien des papouilles et deux flûtes de champagne, mon amie nous propose de passer à table. Je trouve un instant de répit en l’accompagnant à la cuisine chercher les plats. Elle me reproche à voix basse d’avoir un comportement d’iceberg et me suggère de me montrerquand même, un peu plus participative ! À peine assise à table, la main de l’homme vient se poser sur mon genou et l’enveloppe, tel un propriétaire. Je laisse faire, et ses doigts atteignent vite l’ourlet de ma jupe. Par chance, celle-ci est droite et assez serrée, handicapant sa mâle progression. Je me dis qu’à ce rythme, mes Dim-up vont bientôt filer. Heureusement, le dîner préparé par Daphnée est très savoureux, et je me permets une allusion qui provoque son hilarité en affirmant queson velouté se savoure à deux mains, à laquelle elle répond, narquoise, quele velouté n’est pas seulement dans les bols ! Honnêtement, je ne participe guère que par onomatopées à la conversation animée ente les deux autres convives ; j’ai l’impression d’être ce soir une potiche galante, une pouliche flattée par son palefrenier. La main inquisitrice tente de reprendre son ascension en s’acharnant vainement sur mon ourlet. De guerre lasse, je me soulève un peu ; comme surprise par cette trop facile reddition, elle hésite, puis en profite pour s’infiltrer à la limite de mon panty. J’aurais au moins sauvé une paire de bas ! Afin d’immobiliser ...
... l’intrus, je serre les cuisses autant que je peux. Le ballet des doigts sur mon ventre s’arrête par la force des choses. Mais je sens ce poids incongru tout contre mon minou, et j’éprouve un sentiment trouble. Heureusement, alors que je n’en peux plus de rester ainsi contractée, le dessert me donne une superbe occasion de me lever… Je reprends mon souffle à la cuisine. Je me rends compte que, malgré moi, je suis un peu humide d’avoir enserré si longtemps une main contre mon intimité. Après m’être rincé le visage, j’apporte le dessert que j’avais acheté. En entrant dans la salle à manger, j’entends Daphnée évoquerla porte du fond à gauche et les deux convives se taisent tout d’un coup. Je rougis en imaginant aisément ce dont ils parlaient, puisque c’est celle de la fameuse chambre d’amis ! L’ascension vers mon mont de Vénus recommence vaillamment. Mais le combat repart de nouveau à zéro, et l’étroitesse de ma jupe heurte à nouveau les volontés impérialistes de mon conquérant. Je ne veux pas qu’il puisse sentir qu’il m’a fait un peu fondre… Je lui échappe à nouveau, insistant auprès de Daphnée pour desservir seule. Je ne me presse pas pour ce faire, pendant que mon amie met une musique genredernier slow avant fermeture, tamise la lumière et présente à Lucien sa collection de digestifs. À mon retour, je constate que trois verres sont servis, d’un très vieil Armagnac selon Lucien. Je n’ai guère l’habitude de ce genre de boisson… Je m’étouffe à la première gorgée, provocant la réaction ...