L'arroseuse arrosée
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
vengeance,
cérébral,
photofilm,
confession,
humour,
extraconj,
... hilare des deux autres buveurs. Daphnée suggère à Lucien de m’inviter à danser. Le diable s’exécute et je m’abandonne dans ses bras. Il me serre à m’étouffer, ses mains courent sur mes fesses, sans souci pour ma jupe qui remonte. Je ferme les yeux, et répète une fois de plus la scène dans ma tête : sortir son sexe, le caresser, le prendre dans ma bouche s’il insiste trop, puis m’enfuir vers Daphnée dès sa jouissance venue… Mon cavalier s’excite, je sens son désir croître contre mon ventre. Il m’embrasse goulûment, sa langue m’investit, une de ses mains s’est glissée sous ma jupe et me pelote vigoureusement la fesse. J’entrouvre un œil et cherche désespérément mon amie ; elle a disparu. Me voilà au pied du mur ; j’échappe à son étreinte et lui murmure, en lui tendant la main, un faibleviens… À peine le pas de la porte franchi, Lucien me culbute sans ménagement sur le grand lit au couvre-lit de velours rouge et m’y couche sur le dos. M’enserrant le ventre entre ses genoux, il se penche vers moi et s’attaque sans ménagement aux boutons de mon corsage dont certains sautent avec un claquement sec. Il sort un de mes seins de sa prison de dentelle et le gobe goulûment. Je me dois de reprendre absolument lecontrôle de la situation, et glisse une main vers sa virilité qui frappe contre mon nombril. Un grognement satisfait me rassure sur l’opportunité de mon geste, et il se soulève pour me faciliter l’accès à son orgueil viril. Plus respectueuse que lui des vêtements boutonnés, ...
... j’ouvre la cage de l’oiseau et en caresse la peau. Il s’étire, long et fin, légèrement recourbé, d’une taille plus soutenue que je ne l’aurais pensé. Il grogne à nouveau et, m’attirant vers lui, m’extrait de mon corsage, s’attaque maladroitement à l’agrafe de mon soutif qui finit par céder dans un craquement lugubre. De sa bouche, de ses mains, il assiège ma poitrine ; en un soudain éclair de lucidité, j’essaie d’imaginer comment je pourrai bien justifier à Mathieu les marques rougeoyantes que son traitement gourmand laissera sûrement sur le grain de ma peau ! Malgré ses mâles assauts mammaires, je poursuis mes investigations manuelles, découvrant son objet du prépuce jusqu’aux bourses. Sans quitter ma poitrine, il se soulève un peu, fait glisser d’une main pantalon et caleçon, puis remonte ma jupe sur le haut de mon ventre et se repose enfin les fesses sur le haut de mes cuisses. Je sens à travers mon panty son sexe qui bute sur le mien, mais ne parviens pas à détourner de la main ce contact brûlant que je souhaite éviter. Et, bien malgré moi, cette pression me trouble ; mes stoïques résolutions de circonscrire nos ébats au strict minimum fondent comme neige au soleil au fur et à mesure de l’avancement de l’intrus qui repousse mon dessous dans ma grotte intime. D’un seul coup, je cède toute résistance ; l’homme s’en aperçoit, me couve d’un regard vainqueur, se relève, enlève ce qui nous reste de vêtements (que son slip kangourou, modèle année 60, est horrible !), soulève mes ...