Éducation
Datte: 09/06/2021,
Catégories:
fff,
inconnu,
magasin,
fsoumise,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
nopéné,
sm,
journal,
... mon domaine, vous serez ma servante, ma propriété, mon jouet. Vous me serez soumise en toute circonstance, vouée à ma disposition totale, de corps et d’esprit. Vous n’aurez aucune merci à espérer. Vous subirez tous les caprices de ma volonté. Je vous punirai à mon gré. Vous ne serez que l’objet passif de mon bon plaisir. Je réduirai à néant votre liberté. Vous ne vivrez que par moi. Vous endurerez tout ce que je désirerai, vous souffrirez au-delà de ce que vous pouvez imaginer, et vous en serez métamorphosée. Elle martelait ses mots de plus en plus durement. Son parfum capiteux m’enveloppait. Ses paroles m’effrayaient et me séduisaient. Les dernières défenses de ma volonté capitulaient. Je perdais toute capacité de discernement. Plus rien ne comptait pour moi que le besoin impérieux de lui appartenir. Mon cœur triomphait de ma raison. Mon corps dominait mon esprit. Mes pensées se résumaient à l’absolue nécessité de me donner à elle. Ève s’était adossée face à moi contre la bordure du rayon sur laquelle elle appuyait ses mains. Les yeux perçants me fouillaient jusqu’à l’âme. Croisant et décroisant ses jambes pour m’en faire admirer la perfection et deviner son triangle d’amour à chaque virevolte de sa jupe, elle attendait ma réponse. Le cœur battant, je la lui donnai d’une voix sourde, ma gorge serrée ne me permettant pas de parler plus fort. Mais le trouble de mon regard et le halètement de ma poitrine lui apportaient bien la confirmation qu’elle réclamait. — Parfait ! ...
... s’exclama-t-elle et, sans s’embarrasser de fioritures, elle m’imposa ses premières consignes : vous allez d’abord retirer complètement votre soutien-gorge et me le donner. Dorénavant, plus aucun dessous ne vous sera autorisé. Vous ne porterez que des jupes et des robes, courtes ou amples, selon mon désir du moment. Plus de pantalon, sauf si je vous l’impose. Vous serez disponible et accessible à tout instant. Elle saisit mon soutien-gorge que je venais d’extraire à grand-peine par mon encolure et l’enferma dans le sac où elle avait placé peu avant mes collants, puis reprit son discours sans se soucier des clientes qui passaient près de nous. — Vous allez venir avec moi. Dès ce soir, je vous enlèverai cette fourrure inconvenante. J’hésite seulement sur la manière. Soit je le ferai moi-même avec un adhésif, mais je risque d’être brutale, soit je demanderai à une amie esthéticienne de s’en occuper. J’étais résignée à faire le deuil de ma toison intime. Je n’avais jamais eu honte d’exposer mon sexe et mon anus aux regards d’une inconnue ou de plusieurs, pour qu’elles m’en épilent les bords. D’ailleurs, pour l’anus, comment faire autrement ? Il fallait bien supporter les désagréments de l’arrachage des bandelettes de cire de temps à autre. Je préférais cependant me raser, ou me faire raser par une compagne de jeu, lorsque je ne pouvais éviter le port d’un maillot, par exemple. J’affirmai donc crânement qu’une intervention professionnelle n’était pas indispensable, sauf si Madame Ève ...