Maîtresse de maison
Datte: 08/11/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... bedou. Il bandait déjà. Roselyne se souvenait avoir alors complètement abdiqué toute résistance. Elle se rappela des mots de Denis : "Mets-le dans ton lit". En fait, c'est lui qui la mettait dans le sien. La chambre était spartiate mais propre. Le lit haut et ferme. "Un lit fait pour l'amour" avait dit Martin. En coupant les pommes en quartier pour la salade, Roselyne se souvint de l'initiative de celui qui allait devenir son amant : commencer par une douche en commun. D'abord effrayée à l'idée de se montrer dans sa totale nudité, sans transition, elle s'était décontractée à la fois sous l'effet d'un jet d'eau chaude et au contact de Martin dont le corps sec et velu lui avait enlevé ses inhibitions comme par magie. Il lui avait pris la main et l'avait posée sur son membre érigé pendant qu'il lui suçotait les seins. Un membre qu'elle avait jugé parfait, ni trop long, ni trop court, ni trop épais, ni trop maigre... Puis il l'avait, sous l'eau tiède, retournée et léchée de la nuque à l'anus ce qui avait déclenché en elle une véritable petite tempête. Puis elle s'était accroupie, l'avait sucé et goûté la consistance de ce gland dur comme du caoutchouc. Elle l'avait aidé à se coiffer d'un préservatif, initiative qui l'avait rassurée quoi qu'au point où elle en était, elle aurait tout accepté. Puis il avait ouvert le lit en grand et s'en même s'être essuyés ni l'un ni l'autre, il l'avait culbutée, à la hussarde. En versant l'alcool dans la salade de fruits, la main tremblante, ...
... Roselyne se souvint de l'extraordinaire sensation ressentie alors. Les deux peaux nues et humides s'étaient mises à claquer dans un bruit aqueux cependant que le pénis de Martin la fouillait avec un rythme, une vigueur, un dynamisme, une conviction dont elle avait perdu l'habitude depuis longtemps. Son fessier était si actif, si tonique, si virevoltant qu'elle avait éprouvé le besoin d'y planter ses ongles afin d'en savourer les circonvolutions. Ah, on était loin du devoir conjugal ! Ce jeune mâle à la virilité exacerbée la baisait comme une femelle en chaleur et elle n'avait plus qu'une crainte : qu'il s'interrompe. Qu'il éjacule trop tôt. C'est pourquoi elle s'était lâchée avec une verdeur qui les avait épatés tous les deux : - Encore ! Encore ! Ne t'arrête pas ! Vas-y ! Ahou ! Ahou ! Plus vite ! J'aime ça ! C'est bon ! Aw ! Aw ! Mais devant tant d'enthousiasme, Martin s'était demandé s'il allait pouvoir "assurer" et satisfaire un tel appétit. Aussi, sortant de l'étau des cuisses de Roselyne, il l'avait considérée avec admiration : - Eh bien, quelle affaire tu es ! Tu cachais bien ton jeu ! Laisse-moi souffler un peu, sinon je vais tout lâcher trop tôt. Alors, il avait collé son museau sur sa vulve et entrepris de la lécher. Roselyne s'était très vite consolée d'avoir perdu le pénis car la langue agile de Martin avait tout de suite trouvé ses points sensibles. Elle s'était mise à onduler, à couiner, à planter ses ongles dans ses épais cheveux bruns. - Chérie, je vais chercher ...