1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (2)


    Datte: 18/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sur la carpette, le buste écrasé sur le matelas, je la sodomisai en bouledogue. J’enfonçai mon manche jusqu’aux couilles pour bien lui déchirer l’anus. Mon père regardait et nous demanda juste un moment le temps de s’allonger sur le lit pour qu’elle lui bouffe les couilles pendant que je continuai à lui élargir l’anus. Au moment d’éjaculer je me retirai, la forçai de se retourner pour lui planter mon zob jusqu’à la luette et me vider directement dans sa bouche. Mais, comme je découillais une seconde fois en peu de temps, elle put avaler cette portion raisonnable d’un coup. Mon père nous quitta non sans avoir roulé une pelle fantastique à sa belle-fille et lui avoir glissé à nouveau deux doigts dans le con. J’avais prévu de rester une semaine mais nous restâmes quinze jours où l’appétit sexuel de mon père, proprement insatiable, trouva à s’exprimer, d’autant qu’il répondait aux désirs de ma femme comblée par les capacités de ce bon bourrin quinquagénaire. S’ils se croisaient le matin dans la cuisine au petit-déjeuner, il la montait. En début d’après-midi il s’octroyait une sieste crapuleuse et, le soir nous nous donnions le tour pour sauter la donzelle. Un matin, comme il était en train de la prendre sur la table de la cuisine, comme je l’avais fait le premier jour, j’eus la curiosité de filmer leurs ébats. A un moment, une voiture entra dans la cour et s’arrêta devant la fenêtre ouverte, comme à l’habitude. Pas gêné pour deux sous, mon père, la queue dressée et luisante ...
    ... vint au-devant du facteur. — Dis-donc Philippe, c’est pas ta belle-fille que tu sautes là ! — Comme tu vois ! — Ah putain la belle garce ! Si j’avais le temps ! Je viendrais avec vous... Il est pas là le cocu ? demanda l’employé des postes qui attendait visiblement qu’on l’invite à participer. — Non ! En fait, comme j’étais dans un recoin, il ne pouvait pas me voir. — Quand même, faire cocu ton fils... — Bon... la belle affaire... du moment que ça reste en famille. Allez, à se revoir Alain ! — A la prochaine... mais si vous me donnez du spectacle comme ça tous les jours, je te préviens que rien m’arrête. — Mais oui, mais oui... Comme il repartait je demandai à mon père s’il saurait tenir sa langue. Je ne tenais pas plus que ça à ce que l’on sache comment on occupait nos journées et comment mon père s’occupait de ma copine. T’inquiète. C’est un vieux vicieux aussi. Souvent le dimanche il m’amène sa femme à baiser. Comme il ne veut pas non plus que ça s’ébruite... Satisfait de ces explications, je le laissai reprendre sa besogne et enfiler ma femme sous le contrôle de mon portable grâce auquel j’immortalisai la scène. Depuis, à chaque vacances, nous revenons prendre un bon bol d’air à la campagne et, pour ma femme, un bon coup de bite. Je ne me lasse pas de voir le corps blanc de mon père, une fois que l’automne a passé et qu’il a emporté avec lui les dernières marques du bronzage, sur le corps sombre de ma femme. Le contraste des épidermes me fascine, l’harmonie de leur fusion ...
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