1. Unités de compte


    Datte: 23/06/2021, Catégories: fhh, extracon, cocus, essayage, Collègues / Travail chantage, entreseins, Oral préservati, Partouze / Groupe exercice,

    ... la boutique lui permet de faire une toilette sommaire. Elle doit sentir le foutre et la sueur, et le mari que je suis ne comprendrait pas que sa femme prenne une autre douche pour juste un peu de rangement et de la paperasse. Voilà, elle éteint la lumière. Moi, je retourne me coucher, prenant bien soin de laisser le dressing ouvert. Un livre à la main, je l’attends. — Tu ne dors pas encore, chéri ? me dit l’épouse prévenante.— Non, je voulais te montrer ce que j’ai fait aujourd’hui dans le dressing.— Oh, cela ne peut pas attendre demain ? Je suis épuisée.— Mais non, juste une minute. Je me lève, et d’un geste lui montre la pièce plongée dans le noir. — Allume, on ne voit rien.— Ne bouge pas. Surtout n’allume pas. C’est une surprise. Trente secondes. Et je l’abandonne dans la chambre alors que je me précipite dans le magasin, allume les lampes et vais me planter dans la cabine, face au miroir. Par pure perversité, je déplace la banquette et m’installe à califourchon dessus. Une minute plus tard je suis de retour. Martine est livide. Me voyant arriver, elle recule comme si j’allais la frapper. La frapper ? Jamais ! Moi, on m’a élevé dans le respect des autres, et surtout des femmes. Peut-être que je suis trop respectueux et que j’aurais dû demander ou exiger plus afin de ne pas me retrouver du mauvais côté de la barrière. Elle ânonne : — Mais ce miroir…— La question n’est pas le miroir, mais ce que j’ai vu ! je réponds, grondant de colère.— Mais…— Il faut que je t’explique ? ...
    ... Moi, Jean, époux de Martine, j’ai vu par ce miroir ma femme me tromper. Oh, même pas me tromper simplement, si ce mot à un sens. Non me tromper en se livrant à des orgies, je dis DES car j’ai compris qu’aujourd’hui n’est que la succession d’une longue série. Une série où ma femme, oui, MA femme se livre avec plaisir à des hommes, se soumettant à leurs moindres désirs. Pire, je t’ai vue jouir par eux. Pire encore, leurs accorder des choses que tu me refuses depuis toujours. Et cerise sur le gâteau, me priver de sexe parce que Madame baise ailleurs.— Jean, s’il…— Oh, tais-toi. Que pourrais-tu dire ? Que j’ai rêvé ? Que ce n’était pas toi ? Qu’il n’y avait pas deux hommes ? Que tu faisais juste un essayage ? Et tu sais le pire ? Non ? Eh bien, c’est que lorsque je t’ai vue habillée sexy, j’ai pensé que c’était pour moi. Mais non, Madame s’habille en pute pour recevoir des amants. Une pute ! Mais non, pire encore : une pute au moins assume, mais toi, tu te fais baiser à quelques mètres de chez toi. À quelques mètres du lit où je t’attends.— Jean…— S’il te plaît, tais-toi. Je me sens si en colère que je pourrais ne plus me contrôler ! Elle se lève. Elle est en pleurs mais s’approche de moi. — Ne me touche pas. Même si tu t’es lavée, je peux voir le foutre de tes amants. Et enfilant un pantalon et un pull sur mon pyjama je pars, claquant la porte derrière moi. La nuit est belle. Il fait doux. Je croise des couples qui se promènent. Je me retiens de hurler qu’il faut se méfier. Que le ...
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