Le goût des autres
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
hh,
inconnu,
grossexe,
forêt,
parking,
voiture,
odeurs,
Oral
69,
hdanus,
hsodo,
... étonner, que j’avais besoin du sperme de mes amants. Si j’adorais le recueillir en bouche pour en savourer les saveurs et la texture, la sodomie m’apportait également tout un lot de sensations fort agréables, dont l’insémination faisait partie. Au plus fort de cette étreinte, qu’un homme jouisse en mon sein me donnait un petit plus, comme s’il me remplissait de son énergie. J’ai bien compris que le sexe des hommes, à condition qu’il soit suffisamment imposant, pouvait réellement me faire tourner la tête. Plaisir cérébral que de pouvoir jouer avec leur virilité, de les sentir glisser dans ma bouche distendue et de sentir leur gland m’écarteler les reins. Le délicieux frottement de leurs hampes allant et venant langoureusement dans mon fondement m’électrisait au point de remonter le long de ma colonne vertébrale et de déclencher de véritables orages de plaisir. Cet orgasme n’avait rien de commun avec celui connu en tant qu’actif, je n’avais pas à aller le chercher : il venait à moi comme par magie, à condition d’être assez longuement pris et que la douceur soit au rendez-vous. Une telle jouissance n’était pas moins riche que celle rencontrée avec une femme, mais tellement différente, le sperme en plus. Je n’avais aucune difficulté avec les jeunes filles, qui d’ailleurs, entre mes expériences sur la découverte des mâles, restaient ma priorité ! Leur corps parfait, leur petite chatte au goût si délicieux, la douceur de leur peau, sans oublier leur poitrine, retenaient toute mon ...
... attention. Au contraire, il me semblait plus facile de comprendre leur ressenti et d’être ainsi plus à leur écoute. Malgré cela, j’éprouvais régulièrement le besoin de faire une bonne pipe et de déguster cette semence si surprenante par ses diversités gustatives et sa texture. Ma jeunesse et mon physique me donnaient l’avantage sur beaucoup de mecs. J’inspirais confiance, me disait-on régulièrement. Je venais draguer toujours bien habillé et fraîchement lavé, cela me semblait si évident. 1,80 mètre, viril malgré mon jeune âge, assez baraqué, plutôt bien membré… Très sensible également aux odeurs et disposant d’une bonne intuition, je sélectionnais rapidement les hommes susceptibles de me convenir. Les 30/40 ans avaient de loin ma préférence. J’avançais dans mes critères et n’hésitais plus à préciser ce que je recherchais lorsque la question m’était posée : une bien grosse ! Il y a les menteurs prétentieux, prêts à tout pour se faire sucer par « un petit jeune ». Ils se prétendent bien montés, mais en réalité, ne dépassent souvent pas la moyenne, quand ils y parviennent. Puis il y a les modestes, qui disent ne pas avoir à se plaindre. Ceux-là sont très souvent les mieux lotis. C’est avec cette catégorie-là que je trouvais « les plus belles ». Nous trouvions vite un terrain d’entente, souvent dans un recoin calme de ce grand parc, véritable vivier homo. Les plus réservés, ceux qui « ne font pas ça n’importe où », préféraient souvent la voiture ou un appartement. Les quelques ...