Le goût des autres
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
hh,
inconnu,
grossexe,
forêt,
parking,
voiture,
odeurs,
Oral
69,
hdanus,
hsodo,
... kilomètres à parcourir nous permettaient de nous connaître un peu avant de fauter. Je n’hésitais pas à profiter du temps de route pour découvrir ce que cachaient leurs pantalons. Lorsqu’un homme me plaisait vraiment – et pour peu qu’il ait du temps – j’étais insatiable, capable de prodiguer deux ou trois turluttes sans m’en lasser. Au point de me demander moi-même si je préférais sucer ou avaler. Certaines queues sont si impressionnantes par leurs dimensions et/ou leur beauté. D’autres sont plus proches des standards, mais libèrent de véritables torrents de foutre, qu’il en devient ardu de répondre à cette question. Et sucer sans avaler, c’est un peu faire les Jeux Olympiques en refusant la médaille. Dès les premiers contacts avec leur sexe, j’étais capable de savoir si je pouvais leur confier mes fesses ou si j’en resterais à les sucer. Rapidement, je pus compter sur quelques « réguliers » avec lesquels nous trouvions notre bonheur. Ils avaient de trente à cinquante ans, mariés pour la plupart, à la recherche de plaisirs complémentaires. Certains n’attendaient que de se faire sucer alors que d’autres m’offraient « le grand jeu », souvent à l’arrière de leur voiture, mais parfois directement chez moi. Il m’est arrivé de me retrouver entre deux hommes et de pouvoir réunir mes deux plaisirs en simultané. Curieuse et grisante expérience également que de me retrouver avec cinq hommes tendus s’offrant à ma bouche l’un après l’autre. Les sorties de bureau de cadres dynamiques ...
... ayant phosphoré toute la journée, soucieux de se détendre avant de rentrer chez eux. Le profil parfait de l’homme propre, entretenu, toujours bien habillé et qui n’a pas vraiment d’horaires, ni besoin de se justifier à 30 minutes près ! Un beau quinquagénaire, vraiment accro à mes pipes et n’hésitant pas à me sauter régulièrement, m’a même invité à l’accompagner un week-end à une sorte de séminaire. Nous sommes arrivés le vendredi soir et nous avons passé une soirée très chaude. La journée était relax à partir du petit déjeuner, puis il passait vers midi par la chambre pour « un apéritif », comme il le disait, profitant de ma bouche avant d’aller retrouver ses collègues pour déjeuner. Et encore suffisamment endurant pour assumer des soirées plutôt animées. Un véritable DSK en puissance, toujours prêt du moment que l’on s’occupait de… sa bite. Il y a eu également cet homme aussi marié que timide, macho dans sa culture, qui n’allait voir les hommes que pour satisfaire ses besoins non assouvis par madame. Il ne venait que lorsque ses couilles n’en pouvaient plus, restait dans sa voiture sans en sortir, de peur d’être jugé probablement, mais surtout d’être reconnu. Nous avions convenus d’un endroit où nous rencontrer sans qu’il ait à « s’afficher ». Je passais devant tous les jours pour aller travailler. Lorsque sa voiture y était, c’est que monsieur avait besoin. Italien d’origine, très brun, poilu à la peau mate, bourré de testostérone. Le temps de descendre de ma voiture, son ...