1. Le goût des autres


    Datte: 28/06/2021, Catégories: hh, inconnu, grossexe, forêt, parking, voiture, odeurs, Oral 69, hdanus, hsodo,

    ... pantalon était déjà à mi-cuisses et son siège presque en couchette. Je n’avais qu’à me pencher pour emboucher un gros mandrin de compétition, très brun au gland violacé sentant fort le mâle propre. Il ne tenait jamais très longtemps, presque pressé d’en finir. Son sperme, très épais, avait un goût très fort, presque âcre, sans pour autant être désagréable. Il était simplement différent, et j’appréciais beaucoup recevoir ses quatre ou cinq jets à déguster. Mais l’entente la plus complète que j’ai pu avoir fut avec un amant rencontré lors de l’anniversaire de sa sœur, une de mes copines de jeu. J’ai très vite sympathisé avec son grand frère de 35 ans, j’en avais alors 22. À cet âge, il ne fallait pas m’en promettre. Il est venu de lui-même me rendre visite quelques jours plus tard. Contre toute attente, j’ai eu l’honneur de lui offrir sa première pipe… faite par un homme. Et cela ne lui avait pas déplu. Les choses se sont alors très vite enchaînées. Une étrange complicité nous rapprochait. De complicité à complémentarité, il n’y a qu’un pas. Et ce pas, nous le franchissions de plus en plus régulièrement sans ambiguïté, même s’il savait que je couchais régulièrement avec sa sœur. Nous partagions pas mal de points communs comme la musique et nous étions autant libres l’un que l’autre. Son sexe était une invitation à la débauche, assez grand mais surtout particulièrement gros, surmonté d’un gland somptueux. Ses réserves séminales étaient inépuisables et le volume de ses ...
    ... éjaculations me surprenait à chaque fois. Bien que très imposant, je n’avais pas trop de peine à le sucer de longs moments et le faire jouir avec une rare intensité. Chaque pipe nous unissait davantage et la quantité de sperme qu’il me cédait à chaque fois me rendait complètement dingue. Une semaine plus tard, il arrivait dans mon ventre. Encore une chose qu’il n’aurait jamais pensé faire à un homme, mais je savais me montrer persuasif. Son énorme sexe venait d’ouvrir une voie qui ne lui sera jamais refusée. Pour qui aime, une étreinte avec un tel calibre est bien plus grisant qu’un tour de grand huit. Même si ce que nous préférions tous les deux était qu’il glisse entre mes lèvres, de temps à autre il ne rechignait pas à me « remplir le ventre ». Cela nous prenait n’importe où, n’importe quand et sans aucune retenue. Je m’abreuvais de sa semence crémeuse à souhait, à peine salée avec un arrière-goût presque métallique. Il était toujours partant pour m’offrir une « petite gâterie » et ne s’arrêtait pas à la promiscuité d’un éventuel public. Je ne saurais faire une liste des lieux insolites où je l’ai sucé. Aucun homme ne m’aura fait offert autant de sperme que lui, avec un plaisir sans cesse renouvelé. Après lui, j’ai certes rencontré d’autres personnes très intéressantes, mais c’était plus de l’occasionnel que du régulier, ou alors quelques semaines et puis s’en vont. Jusqu’au jour où les choses ont changé. Un terrible accident de voiture me priva de mobilité ; je suis devenu ...
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