1. Après le bac... en 1977


    Datte: 08/07/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, lunettes, vacances, forêt, amour, Oral pénétratio, prememois, occasion,

    ... dernière fois en ayant du mal à réaliser que quelques minutes auparavant, ils étaient encore nus, en train de combler leurs besoins sexuels. — Je n’aime pas les interminables cérémonies d’adieux. Faisons ça bref.— Moi non plus, l’approuva-t-il. Mais tout un été sans se voir, ça fait long… avoue-le. Je crois que je me suis attaché à toi.— Tu ne passes pas dans le coin ? s’enquit-elle. Ça pourrait être amusant comme vacances.— Non, coquine. Dans deux semaines, c’est à mon tour d’y être. Et ma femme a de la famille en Bretagne. J’ai comme l’impression que ce n’est pas la même route.— Pas trop, non…— Quand tu seras de retour… viens me voir à l’entrepôt. Avec de la chance, tu m’y trouveras. Si je ne suis pas en livraison à l’autre bout de la France.— J’espère qu’un jour, ils inventeront les téléphones portables. Ce serait bien plus pratique que de miser sur la chance. Après avoir échangé un long baiser, Hervé s’en fut dans la nuit noire. Françoise, elle, rentra se coucher sans un bruit et sans éveiller ses voisins. Devrait-elle parler à Claudia de cette aventure ? Même si ce n’était pas son genre, elle ne pourrait s’empêcher de la juger. Non, ce ...
    ... n’était pas une bonne idée. C’était sa vie privée. Après, étant bien plus délurée qu’elle, le risque de commentaires salaces de sa part n’était pas à exclure. Oui, elle serait bien capable, les poings sur les hanches, de lui reprocher de ne pas avoir pensé à elle. Son duvet sur le nez, elle y pensa encore. Puis son cerveau s’engourdit. La fatigue prit le dessus et elle s’enfonça dans un sommeil réparateur. Alors qu’elle paraissait endormie depuis quelques minutes, un coup sec dézippa la fermeture Éclair de sa tente et une tête ressemblant à un soleil passa entre l’ouverture. — Encore au lit ? Paresseuse, l’apostropha Claudia. Tout le monde est déjà levé ici !— Gngngngn. Mais tout le monde n’est pas arrivé tard hier soir comme moi, grommela Françoise tout en rabattant sa couverture par-dessus sa tête.— C’est vrai qu’on t’a attendue toute la soirée. Tu étais passée où ?— Me pose pas de questions. Tu sais bien que je ne suis pas du matin. Je devais bien être quelque part. C’est tout.— Oh, toi ! Tu me caches quelque chose. Viens m’expliquer tout ça à table. La nuit porte conseil ? Mon œil. Françoise n’avait jamais entendu un proverbe aussi stupide. 
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