Après le bac... en 1977
Datte: 08/07/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
inconnu,
lunettes,
vacances,
forêt,
amour,
Oral
pénétratio,
prememois,
occasion,
... du pieu de chair. C’était divin. Un peu honteuse, elle fut heureuse qu’Hervé ne se rende pas compte de son trouble. Elle n’était pas du genre à spontanément proposer une fellation à qui que ce soit. Elle répondait juste à son envie du moment. À une inspiration subite. Elle devait le faire. Un point, c’est tout. S’appliquant au maximum pour rendre au minimum le plaisir qu’il lui avait procuré, elle qui n’était qu’une novice, sa langue se vit virtuose. Dansant une folle sarabande autour de la colonne désormais aussi dure que du béton, elle essaya d’en rentrer la pointe dans le méat. — Coquine. Tu cachais bien ton jeu.— Je ne cache rien. Si tu veux, j’arrête.— Au contraire. Continue encore un peu. J’aime ce genre d’initiative. S’amusant encore un peu avec son nouveau jouet, elle se rendit à l’évidence. Ils allaient devoir s’accoupler une seconde fois. Était-ce bien ou mal ? Elle n’en avait cure. Et elle savait qu’ils étaient tous les deux sur la même longueur d’onde. Ce qui comptait était d’obéir aux désirs de leurs corps. — Que veux-tu faire ? Ils avaient presque posé la question en même temps. Françoise, sans un mot, d’un geste fluide et naturel, s’empala sur son mandrin. C’était comme si son vagin avait été spécialement conçu pour l’accueillir. Elle savait qu’elle ne risquait pas de revoir cet homme de sitôt. C’est comme si elle voulait le garder à l’intérieur le plus longtemps possible. Elle sentait ses mains larges ne pouvant s’empêcher de se balader sur sa poitrine, ses ...
... hanches, son dos, ses fesses. Ils s’embrassèrent. Contact intime qu’elle avait toujours souhaité réserver à son copain, mais ses barrières étaient petit à petit en train de tomber. Elle appréciait cet homme d’âge mûr qui lui faisait découvrir des plaisirs dont elle ne soupçonnait moins l’existence que l’intensité. Une fois encore, la volupté l’envahissait comme la marée montante. Elle était prête à s’y noyer. Frottant son visage contre celui d’Hervé, elle atteignit le septième ciel en lui chuchotant à l’oreille des mots doux. Fiché au plus profond d’elle-même, il n’eut d’autre solution que de l’imiter dans son orgasme. C’était comme si son cœur s’arrachait de sa poitrine. Là encore, il plana dans une autre dimension durant un temps déterminé. Quand il ouvrit les yeux, Françoise ronronnait contre son épaule, ses seins plaqués contre son torse. — Je suggère d’arrêter là pour ce soir. Sinon, nos nerfs ne vont pas tenir. Surtout les miens. Françoise mit tellement de temps à répondre qu’Hervé crut qu’elle s’était endormie. Mais finalement, lorsqu’elle ouvrit la bouche, ce fut pour acquiescer. — Tu as raison. Soyons raisonnables.— Tu appelles « raisonnable » ce que nous avons fait ? lui demanda-t-il avec une pointe de malice.— Tout compte fait. Je vais choisir une autre phrase. Ah oui. Finalement, il est tard. La journée a été longue. Il est temps que nous allions nous coucher. Hervé l’accompagna jusqu’à l’entrée du camping pour s’assurer qu’il ne lui arrive rien. Il la regarda une ...