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Après le bac... en 1977
Datte: 08/07/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, lunettes, vacances, forêt, amour, Oral pénétratio, prememois, occasion,
... qu’il avait quarante-huit ans, qu’il travaillait depuis l’âge de dix-huit ans, qu’il avait rencontré sa femme par l’intermédiaire de sa sœur avec qui il sortait à ce moment-là et que sa plus belle vision, c’était elle. Quand il la regardait dormir avant de partir au boulot. Ce qui amena naturellement Hervé à lui demander où elle en était avec les garçons. Françoise fit la moue. — C’est pas que je ne les aime pas. Mais je n’ai pas de chance avec eux, constata-t-elle tristement.— Ah bon ? Comment ça ? s’étonna-t-il.— Je ne sais pas trop comment expliquer. J’ai eu quelques copains, mais avec qui je ne suis pas restée très longtemps.— Tu n’es peut-être pas faite pour les longues relations… pour l’instant.— C’est ce que je me dis. Je n’ai pas encore trouvé la perle rare.— Tu as bien le temps pour ça. Par définition, la perle rare… est rare. Ce serait étonnant de la trouver aussi rapidement.— Nous, les jeunes sommes pressés. Il nous faut tout, tout de suite. Tout doucement, ils finirent par arriver au bout de leur destination. Françoise sortit et fit quelques mouvements d’étirement pour retrouver la souplesse de ses muscles. Il faisait beau et chaud sans excès. Tout se passait bien. — Dis-moi… Est-ce que je te dois quelque chose ?— Tu es folle, fit Hervé, choqué. Ce fut un plaisir.— C’est quand même bête de se quitter comme ça. Tu fais quelque chose ce soir ?— Je n’ai pas fini ma journée, petite. Je dois charger mes caisses.— Tu en as jusqu’à quelle heure ?— Dix-neuf heures. ...
... Vingt heures.— Ce n’est pas trop tard. Ça te dit de dîner ensemble ce soir ? Il doit bien y avoir un bistrot pas trop cher dans le coin.— Pour sûr. J’en connais quelques-uns.— Alors, faisons comme ça. Ça me laisse le temps de m’installer.— Entendu, approuva Hervé. On se donne rendez-vous ici dans deux heures. Ce sera plus simple. Deux heures plus tard, ils se retrouvèrent sur le même parking. Tous deux fraîchement lavés et parfumés. — Ah ! On dirait qu’on a eu la même idée, fit Françoise espiègle.— On est plus présentable comme ça. La route a été longue. Au passage, très sympathique ta robe. Françoise avait revêtu une robe à damiers bleue et blanche assez courte qui lui donnait une classe folle. Elle refroidit toutefois l’enthousiasme de son nouvel ami. — Ne te moque pas. Mais elle appartenait à ma tante. Elle m’en a fait cadeau quand j’ai eu seize ans. Je n’ai jamais su si c’était vraiment un cadeau ou l’inverse d’ailleurs. Si elle cherchait à s’en débarrasser.— Tu la féliciteras de ma part. Elle a eu une excellente idée. Tu sens bon aussi. Elle apprécia le compliment en détournant subtilement la conversation. — J’ai faim. Pas toi ?— Allons-y. Je me laisserais bien tenter par des fruits de mer ce soir pour fêter ça. Ils partagèrent un gigantesque plateau à deux et s’amusèrent beaucoup de la manière dont Françoise dégusta son assiette. — Dire que je suis un habitué ici. Tu as ruiné ma réputation, soupira-t-il, une fois qu’ils eurent fini de dîner. Dehors, l’air frais du début de ...