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Natasha & Franck (4)
Datte: 17/07/2021, Catégories: Transexuels
... l’esprit un peu étriqué il faut bien avouer, ne captaient rien. Un jour, prétextant d’envoyer une lettre qu’elle devait envoyer pour l’inscription à la fac, elle se débrouillait pour pouvoir s’isoler des ses parents et me voir en tête à tête. Sa lettre n’était pas tout à fait prête, je lui proposais qu’elle la finisse le temps que j’aille à la maison suivante, une ferme qui était un cul de sac. Marie vint m’attendre au croisement de la route et du chemin qui menait chez elle. La maison était légèrement en contrebas à une bonne centaine de mètres. Elle était enfin libre de parler. « Vous faites quoi de vos après-midi ? J’étouffe ici, est-ce qu’on pourrait se voir discrètement? Je pourrais aller me promener dans les bois sur la colline en face… - Demain après-midi ce sera possible. -Oh merci !!! … vivement demain alors ! » Elle jetait un œil pour vérifier que personne ne pouvait la voir, puis me donnait un petit baiser sur la joue puis s’en allait. Alors qu’elle passait d’un pas lent devant la voiture, je remarquais qu’elle avait remonté son short en jean de sorte qu’il moule bien ses jolies fesses. Moi aussi j’avais hâte d’être demain. Je finissais ma tournée le plus vite possible comme si c’était un moyen d’être plus rapidement au lendemain. Le jour suivant, je débutais ma tournée sur les chapeaux de roues, toujours aussi motivé pour accélérer le temps. Alors que j’amenais le courrier chez ses parents, Marie vint au devant et me demandant si cela tenait toujours pour ...
... l’après-midi. Et comment que ça tenait toujours ! Elle me donna une heure et un lieu plus précis pour le rendez-vous. Peu avant 15h j’entrais dans les bois. Je trouvais l’endroit assez facilement. Marie m’y attendais déjà. Nous faisions plus ample connaissance et le temps passait déjà trop vite. Marie se rendait compte qu’elle ne pourrait rester trop longtemps sans alerter ses parents. Aussi nous convenions d’une autre rencontre. Cependant elle ne voulait pas que nous nous quittions sans quelques attouchements qui seraient comme un acompte pour la prochaine fois. Marie était encore vierge et je ne voulais pas que cette première fois se fasse en coup de vent, même si le coté furtif pouvait ajouter une saveur particulière. D’ailleurs cela faisait à peine plus d’une heure qu’elle était partie et nous entendîmes sa mère qui appelait. « La patrouille Françoise est déjà à ma recherche, soupira Marie. » Je lui donnais un dernier baiser et elle descendait guillerette en direction de sa mère. De mon coté, je partais dans la direction opposée puis me cachait un instant dans les fourrés, pour ne pas éveiller les soupçons de sa mère si elle m’apercevait dans le coin. « Tout va bien ma chérie ? Je commençais à être inquiète, cela fait plus d’une heure que tu es partie de la maison… -Oui pas de soucis. Que veux tu qu’il m’arrive ici ? J’ai trouvé un coin sympa pour lire tranquillement, sans les frangins qui tournent autour comme des mouches… -On en rediscutera à la maison… rentre vite, ton père ...