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Natasha & Franck (4)
Datte: 17/07/2021, Catégories: Transexuels
... doit être inquiet. Je vais promener le chien. » Je m’étais caché dans un enchevêtrement d’arbres morts. J’allais quitter ma cache pensant que la mère de Marie était certainement repartie avec elle lorsque j’entendis une voix. Je voyais Françoise qui venait dans ma direction. Je craignais que le chien aie suivi ma trace et ne me débusquât. Elle s’arrêtait et regardait plusieurs fois dans la direction d’où elle venait. Entre chaque coup d’œil, elle caressait le berger allemand de plus en plus longuement puis elle s’appliquait à faire sortir la verge du chien de son fourreau. Il se coucha sur le dos. Elle se déshabillait et s’allongeait au coté du chien. Elle prenait le membre dans sa bouche. Je n’en revenais pas. Françoise bridait sa fille pendant qu’elle prenait son pied avec son chien. J’étais pris entre deux sentiments. Je bouillais de colère et j’étais très excité de voir le spectacle que la mère de Marie m’offrait à son insu. Pendant que longue minutes, elle continuait de jouer avec le sexe du chien, le suçant, l’aspirant. Puis elle se mit à genoux. Elle pointait son généreux fessier en l’air. Le berger allemand avait déjà compris le message et était déjà debout, la bite pendue entre ses jambes. Il semblait en être embarrassé. Il donnait quelques coups de langues entre les cuisses de Françoise. Puis très rapidement il lui grimpait sur le dos avec une aisance qui prouvait qu’il n’en était pas à sa première saillie. Pendant quelques minutes il pointait et trouvait assez ...
... facilement l’entrée. Il commençait à pistonner brutalement la chatte de sa maitresse. Puis il ressortit. Un mauvais appui, une mauvaise position. Françoise tourna légèrement. Le sol semblait un peu plus bombé à cet endroit. J’étais pour le coup idéalement placé. J’étais de coté légèrement sur l’arrière. Le chien repointait et à entendre le « ouch ! » qu’émit Françoise, j’en conclus qu’il la sodomisait. Elle essayait de faire ressortir l’animal, mais il l’avait bien attrapée par la taille et rien n’y fit. C’était surtout la crainte du nœud qui la motivait, mais peine perdue, il était bel et bien entré. Françoise cherchait la position la plus confortable ; elle allait passer plusieurs minutes qui la laisseraient littéralement sur les genoux. J’étais très excité par la vision de cette croupe ample et rebondie d’un blanc qui contrastait avec le pelage noir du chien. J’aurais aimé avoir Marie à mes cotés. Par contre, je ne sais pas si elle aurait supporté de voir sa mère ainsi. Plus je voyais le cul de Françoise secoué par le canidé, plus j’avais envie de le prendre. Et ses seins, lourds et d’un blanc laiteux, se balançaient au rythme des va et viens. J’avais une folle envie de rajouter un chapitre inédit au livre de Jack London, « l’appel de la forêt ». En même temps que je matais, je réfléchissais à un moyen d’arriver à mes fins. Sans pour cela devenir le pire des maitres-chanteurs. Le berger allemand arrêta ses va et viens. Françoise gémissait de plus en plus fort. Le chien se ...