Natasha & Franck (4)
Datte: 17/07/2021,
Catégories:
Transexuels
... retournait, arrachant un râle puissant à sa maitresse. La voir ainsi collée m’excitait au plus haut point et je ne tardais pas à envoyer de puissants jets de foutre sur le tapis de mousse où j’étais caché. Le chien se libérait enfin du vagin de Françoise, qui laissait s’écouler une quantité impressionnante de semence. Il vint lui nettoyer l’entrejambe méticuleusement provoquant un autre orgasme. La mère de Marie se laissa tomber à plat ventre dans l’herbe. L’animal tournait autour d’elle, reniflant, donnant un coup de langue de ci de là, comme pour s’assurer que sa maîtresse allait bien. Elle récupérait peu à peu ses esprits. Elle attrapait le chien par le coup et le serrait contre elle. Françoise se rhabillait et redescendait la colline, flattant de temps en temps le flanc du berger allemand. Je rentrais chez moi, l’esprit occupé par mes activités de cet après-midi. J’élaborais une multitude de plans pour arriver à mes fins. J’en arrivais à la conclusion que si je ne voulais pas trop passer pour un maître-chanteur, il fallait que j’arrive à l’improviste sur place pendant que Françoise s’accouplait avec son chien. Maintenant il me restait une raison de me trouver à cet endroit sans que cela fasse trop téléphoné. Le lendemain, je trouvais Marie sur la route qui menait chez elle. Elle m’attendait plus qu’elle ne se promenait. Elle m’annonça que ses parents allaient s’absenter une bonne partie de l’après-midi. Ils devaient faire le plein de provisions et emmèneraient les ...
... trois enfants. Je la ramenais jusqu’à l’embranchement de leur chemin et de la route. Il ne me restait plus qu’à accélérer la distribution des lettres pour profiter pleinement de cet après-midi. Comme convenu je me garais plus loin que la bifurcation menant à la maison où logeait la famille de Marie. Peu avant d’arriver à la ferme qui était le cul de sac, sur la gauche de la route un embryon de voie qui permettait au chasse-neige, l’hiver, d’évacuer le tas de neige, m’offrait une belle place sous les arbres bien à l’abri des regards. Je rejoignais Marie en passant par la plantation qui longeait la maison. En dessous de la propriété, les prés descendaient jusqu’aux champs de blé qui seraient fauchés dans peu de temps. Au-delà, on apercevait la route qui serpentait et traçait la limite avec la colline suivante qui remontait en pente légère sur des centaines de mètres. Nous étions assis dans l’herbe face à ce cadre bucolique, Marie devant moi se penchait en arrière, la tête contre mes pectoraux. Je passais mes mains sous son T-shirt. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge. Ou peut être l’avait elle déjà enlevé. Contrairement à sa mère, ses seins étaient petits et fermes, mais tout aussi excitants. Il me semblait alors que peu importe la taille, le paradis c’était d’avoir des seins à portée de mains… ou de langue. En l’occurrence ma langue s’amusait avec son oreille gauche, tantôt gobant le lobe, tantôt essayant de s’immiscer dans l’orifice du conduit auditif ou encore jouant avec ...