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Natasha & Franck (4)
Datte: 17/07/2021, Catégories: Transexuels
... l’hélix. Marie s’abandonnait complètement. Je lui murmurais que, dans un premier temps, je voulais la faire jouir seulement de mes doigts ; je voulais qu’elle mouille tant que des torrents de cyprine ruissellent et cascadent le long de la pente et finissent par inonder la vallée. Elle riait. Ma main droite s’était infiltrée dans son short en toile. Elle n’avait pas non plus de culotte. Je commençais à jouer avec son clitoris. De mon pouce, je m’occupais du bouton magique, alors que plaquais ma paume et tous mes autres doigts sur sa vulve qui était naturellement assez lisse. Puis, je commençais à introduire le majeur dans son puits déjà très humide. Juste une phalange pour commencer. J’abandonnais momentanément mon exploration pour caresser du bout de mes doigts ses lèvres sur toute leur longueur, puis reprenais l’exploration de son intimité. Seul mon pouce, invariablement, continuait à son rythme de titiller le clitoris. « Tu ahhhhhhvais raison….. Ahhhhh ce rythmmmmmmmme,…… je vais finir paaaahhhhr inonder laa vaaaaaahhhhhllée, parvint-elle à dire. -Non tu n’y arriveras pas ! Je vais me sacrifier pour sauver les récoltes. Je vais boire tout ce bon jus d’abricot que tu sécrètes. Quitte à me noyer dans tes flots ! » Je roulais face à Marie. Elle s’allongeait sur le dos, jambes pliées. Appuyant sur ses pieds, elle surélevait son bassin, exposant son fruit juteux à mon regard et surtout à ma bouche. Je collais mes lèvres à son sexe, telle une sangsue avide de sa jouissance. Je ...
... la fouillais de ma langue ; je lui léchais les lèvres comme on lèche une glace. « Mets moi deux doigts dans le cul, je veux que tu me prennes par derrière. » Apparemment, l’éducation catho de ses parents, ce n’était pas trop son truc ! Ceci dit, ça ne semblait pas trop être le truc de sa mère non plus… J’introduisais l’index et le majeur dans le vagin de Marie. « Non dans le cul je t’ai dit, je suis encore vierge ! » Je la rassurais sur mes intentions. Je ne voulais que lubrifier mes doigts. La révélation de Marie sur sa virginité me laissait perplexe. Mais je me reconcentrais très rapidement sur son cul. Ce n’était pas tous les jours qu’une fille acceptait aussi volontiers de se faire enculer. Son anus acceptait mes doigts avec facilité. Ce qui était logique si Marie ne pratiquait que la sodomie. Je travaillais sa rondelle de petits mouvements rotatifs ; elle acceptait rapidement un troisième doigt. Je me délectais par avance du plaisir que j’allais ressentir une fois que je l’aurais pénétrée. Ce qui arriva très vite. Le vocabulaire de Marie évoluait étonnamment de plus en plus dans le graveleux au fur et à mesure que sa jouissance augmentait. Le sexe était pour elle un moyen de rejeter les bonnes manières que lui inculquaient ses parents. Les paroles pendant l’acte poursuivaient le même but. Marie était à quatre pattes dans l’herbe. J’étais bien planté dans son cul. Je la tenais par les épaules. A chaque fois que je m’enfonçais jusqu’à la garde, mes couilles venaient buter ...