1. De bien douces gammes...


    Datte: 23/07/2021, Catégories: fh, hplusag, hagé, extracon, BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, confession, occasion, extraconj,

    ... attardée sur le bout, s’empare de tout mon membre. Âmes sensibles, rassurez-vous ! Ses dimensions ne sont pas hors normes, car le seul bel organe que je possède est ma voix, et c’est bien pour cela que je chante dans une chorale. L’agilité de sa langue, le mouvement expert de ses joues me font comprendre que Marie n’est pas novice dans cette pratique. C’est donc à mon tour de gémir, mais pas de douleur ! — Tendre petite salope, tu me fais du bien ! Je m’étonne de mon propre vocabulaire, il est des mots que je n’oserais jamais employer avec Anne-Lise ! Mais je n’ai pas ressenti de telles sensations depuis quelques lustres, et je n’imaginais pas que cela puisse revenir. Dans sa position Marie ne peut naturellement pas me répondre. Mais je sens par les mouvements de sa langue qu’elle apprécie mon aveu. Cette fois, je prends l’initiative, me dégage, la retourne et la fais mettre à genoux et appuyée sur les coudes. Je me place derrière elle, frotte mon sexe contre le sillon fessier. Elle passe alors la main entre ses cuisses, attrape mon membre tendu et le dirige vers sa chatte. L’excitation est telle que je la pénètre d’un coup. Je me penche pour caresser ses petits seins d’une main, et son dos de ...
    ... l’autre, remontant le long de la colonne vertébrale. Sa peau frémit. Elle contracte ses fesses d’un mouvement synchrone avec mes coups de reins. Les mots qui nous viennent à la bouche sont presque incompréhensibles, ce sont plutôt des onomatopées, des gémissements, des feulements, des « tendres plaintes » (sans clavecin), c’est presque comme un duo écrit par Stockhausen, mais en plus excitant et en plus tendre. — Oui, viens ! me dit-elle. Sa voix n’a jamais été aussi mélodieuse. Je sens alors cette vibration si caractéristique qui vient du plus profond de mon corps, alors que son vagin se crispe sur ma queue. C’est presque comme dans un roman : nous allons jouir ensemble… nous jouissons ensemble ! Je pourrais presque compter chaque soubresaut de mon sexe alors qu’il emplit Marie de ma semence. Elle se retourne, de ses lèvres cherche les miennes : nous nous effondrons sur le lit. Doux moments que ceux qui suivent. « Post coïtum animal triste » : eh bien, non, pas cette fois-ci ! oooOOOooo Depuis, à la chorale, il me semble entendre autrement la voix de Marie. Et le chœur du final de la IXe de Beethoven m’en semblerait presque facile à chanter. Ah oui, j’y pense, il y a certainement d’autres livres à ranger. 
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