Carine et son mystère
Datte: 29/07/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
bizarre,
hotel,
fdomine,
dispute,
Oral
pénétratio,
... prendre une douche. Et je me suis levé, comme un automate, pendant que mon sperme glissait le long de la peau. Je suis resté longtemps sous la douche. J’étais complètement dépassé par ce qui m’arrivait. Hors du sexe, cette fille ne me donnait rien, pas de tendresse, pas même de sympathie. Et moi, je me sentais tellement attiré par elle que je la suivais comme un caniche, toujours en position de demandeur. Il fallait que je me reprenne. J’allais passer la soirée avec elle, rien qu’avec elle. À table, elle allait forcément se radoucir, se livrer. C’était sans doute juste de la timidité. Elle n’aurait pas accepté de passer ce week-end avec moi si je ne lui plaisais pas. À moi de l’emmener à baisser sa garde. J’avais mon plan en tête. La faire boire, reprendre l’initiative, l’affoler avec mes caresses, la faire gémir, être le premier peut-être à triompher d’elle, à la révéler, à la faire crier à son tour. Je l’imaginais ensuite tendre et vaincue, éperdue de reconnaissance. Je suis sorti de la salle de bains avec un sourire de prédateur. Mais tout le long du repas, nous sommes restés sur deux planètes différentes. Elle n’a bu que de l’eau. Elle me parlait de sa famille, de sa mère qui n’avait jamais été maternelle, de son petit frère qu’elle adorait. Moi, j’écoutais son monologue en essayant vainement de lui rappeler qu’on avait quand même couché ensemble, qu’il s’était passé des choses entre nous. Lâchement, je n’osais pas l’interrompre, j’approuvais ce qu’elle me disait, la ...
... relançais sur son sujet favori en lui posant des questions sur son petit frère dont je n’avais rien à faire. Tout ça, parce que le désir était revenu, parce que je ne pensais qu’à mon sexe enserré par le sien. Jusqu’alors, avec d’autres filles, la matérialisation du désir, ce sexe qui se tend sous un pantalon, m’avait toujours rendu fort, conquérant. Là, pour la première fois, elle me rendait à l’inverse faible, prêt à toutes les bassesses pourvu que Carine accepte à nouveau de m’accueillir en elle. Elle n’avait pas envie d’aller en boîte. Tant mieux. Je l’ai ramenée directement à l’hôtel. La nuit a été semblable à la précédente. Sauf que cette fois, dans l’anonymat d’un hôtel, je n’ai pas cherché à retenir les manifestations de mon plaisir. Elle, toujours rien : la même insensibilité, la même passivité apparente, et son sexe, à l’intérieur, qui aspirait le mien, qui arrachait mon plaisir. À un moment, elle m’a retourné, m’a chevauché, et m’a fait l’amour, à genoux sur mon sexe. Elle avait les yeux fermés, la bouche à peine ouverte. Ses seins bougeaient au rythme de ses mouvements. Et toujours, elle marquait un temps d’arrêt en s’enfonçant sur moi, pour comprimer mon sexe avec son vagin et me faire crier. Quand j’ai joui en elle, Carine a continué son mouvement sur mon sexe encore dur. Il me semble qu’elle a joui à son tour, mais je n’en étais pas certain, tant elle m’avait emmené loin dans le plaisir après l’amour. Puis, elle s’est reposée à côté de moi, sans un baiser, sans un ...