Carine et son mystère
Datte: 29/07/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
bizarre,
hotel,
fdomine,
dispute,
Oral
pénétratio,
... geste tendre, sans un mot. J’étais désemparé. J’avais le sentiment de ne pas compter pour elle, de n’être qu’un sexe dont elle faisait ce qu’elle désirait. Je voulais comprendre : — Tu as eu du plaisir ?— Oui, c’était bien.— Comment ça, bien ? Tu as joui ?— Oui, ne t’inquiète pas. Je ne suis pas très démonstrative.— Mieux qu’avec d’autres ?— Non, aussi bien.— Des garçons ne t’ont jamais dit que tu avais une manière particulière de faire l’amour ?— Si. Pourquoi avez-vous tous envie de parler après l’amour ? Tu as eu ce que tu voulais, non ? Alors laisse-moi tranquille… Certainement pas. C’était quand même fou, cette fille froide comme un glaçon, passive en apparence, mais qui happait ma bite quand je la pénétrais comme si elle avait une ventouse à la place du vagin ! J’avais tenté tout ce que je savais faire pour l’émouvoir. J’estimais avoir droit à des explications : — Tu trouves que je fais mal l’amour ?— Mais non, pas du tout. Je suis toujours comme ça. Je cherchais mes mots. Comment lui dire, comment lui demander ? — Ecoute, jamais je n’ai eu autant de plaisir avec une fille. Ce que tu fais avec ton vagin, tes contractions pendant l’amour, c’est quand même spécial, non ? — Peut-être. Je ne sais pas ce que font les autres filles.— Oui, mais les autres garçons, ils te l’ont dit ?— Oui.— Alors explique-moi, Carine, je veux savoir.— Tu deviens lourd. J’ai sommeil. Je vais te le dire, mais après, tu ne me poses plus de questions, tu me laisses dormir. J’ai eu des problèmes ...
... quand j’étais petite. J’avais peur du noir la nuit. Je faisais pipi au lit. J’ai appris à me retenir, à me contracter. Quand j’ai fait l’amour pour la première fois, j’ai fait pareil. J’ai vu que ça plaisait aux garçons. Alors j’ai continué. Maintenant, bonne nuit. Elle s’est retournée. Son explication me semblait invraisemblable. Mais je devais m’en contenter. Sa respiration était régulière. Elle dormait, ou faisait semblant. Je savais que je ne pourrais rien tirer de plus d’elle, ni en paroles, ni en actes. Le matin, nous nous sommes réveillés assez tard. J’avais envie d’elle, mais elle ne m’a pas laissé de faire des travaux d’approche : elle avait déjà filé sous la douche. Quand elle en est sortie, j’ai voulu l’attirer dans le lit. Refus : il faisait beau dehors, elle avait faim, et voulait profiter de cette journée. Elle m’a dit d’aller prendre une douche. J’y suis allé le sexe inutilement dressé. Une humiliation de plus. Même froideur lors du petit-déjeuner. Elle n’a recommencé à sourire que lorsque nous avons retrouvé ma bande de copains sur la plage. D’emblée, elle est allée vers le clan des filles. C’était comme si je n’existais plus, comme si nous n’avions pas passé deux nuits ensemble. J’ai fait du surf toute la journée. J’avais posé ma serviette à côté de la sienne. Quand je revenais sur la plage, elle me parlait à peine. Ce n’est qu’en fin d’après-midi qu’elle a consenti à un geste tendre. Il faisait froid. Les autres filles réchauffaient leur garçon, en le frottant ...