1. Carine et son mystère


    Datte: 29/07/2021, Catégories: fh, jeunes, bizarre, hotel, fdomine, dispute, Oral pénétratio,

    ... avec des serviettes, en l’embrassant. Elle a fait pareil. Mais je ne me berçais plus d’illusion : juste parce que les autres filles le faisaient, et qu’elle ne voulait pas rester la seule allongée sur sa serviette. Est ainsi venu le moment du retour. La route m’a semblé encore plus longue qu’à l’aller : elle a remis la radio pour recouvrir notre silence, et n’a pas desserré les lèvres. Et moi, je suis redevenu faible. Je bandais en pensant à elle, au plaisir qu’elle me donnait avec son sexe, quelles qu’en fussent les raisons. Je ne voulais pas la quitter, pas comme ça. Je lui ai proposé de lui montrer mon studio : — Non, il faut que je rentre. J’ai dit aux gens qui me logent que je rentrais pour le dîner. Je ne veux pas qu’ils s’inquiètent.— Demain alors ?— Je veux bien continuer à sortir avec toi, mais je te préviens, je suis indépendante. La semaine, j’ai beaucoup de travail. Et je ne peux pas découcher. Je l’ai ramenée devant chez elle. Elle s’est laissée embrasser pour la première fois de la journée, mais s’est brusquement dégagée quand j’ai voulu glisser une main sous sa jupe. Mon sexe était dur de désir. C’est terrible à dire, mais cette fille me tenait. Je me sentais prêt à tout pour la revoir, pour la pénétrer, pour crier de plaisir en elle : — Moi, j’ai envie de te revoir. Et j’ai besoin de savoir quand. Le week-end prochain, si tu veux, on peut retourner sur la côte. Ou alors, si tu préfères, tu viens chez moi…— Ce n’est pas possible. Je dois aller chez mes ...
    ... parents. Dans quinze jours, peut-être. Elle était descendue de la voiture et me parlait à travers la glace. Je n’existais plus pour elle. Toute la frustration accumulée lors de ces deux jours a explosé en moi : — Je ne te comprends pas, et je n’ai même plus envie de chercher à te comprendre. Rentre chez toi. Je ne veux plus te voir.— Comme tu voudras. Elle est partie, sans même se retourner. J’ai démarré aussitôt mon moteur, et j’ai fait crisser mes pneus en accélérant pour lui montrer que je voulais la fuir au plus vite. Fuir, c’était le verbe exact. J’ai conduit comme un taré, pour vider ma colère et ne plus penser à elle. Une fois chez moi, je me suis masturbé, violemment, comme pour punir mon sexe d’avoir tant aimé son vagin. Jamais plus je ne suis retourné aux soirées infirmières. Je craignais de la revoir, d’être faible, d’être à nouveau attiré par elle, de me mettre plus bas que terre pour qu’elle daigne m’ouvrir ses jambes. Cette fille était trop dangereuse pour moi. Face à elle, je me sentais désarmé, démuni. Elle avait tous les pouvoirs sur moi, et moi aucun. La seule solution, le seul courage, c’était la fuite. De Carine, je n’ai parlé à personne. Et je n’ai jamais compris ce qui s’était passé ces deux nuits-là, ce qu’elle faisait avec son vagin pour me donner tant de plaisir, si elle s’était moquée de moi avec son histoire d’énurésie, ou si c’était la vérité. Une fois dans ma vie, j’ai rencontré une femme qui parvenait pendant l’amour à contracter les muscles de son ...
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