A la manière de... II
Datte: 09/08/2021,
Catégories:
pastiche,
... m’accommodera le fondement.— Bonne idée, mon Grattepoil, mais il y faut convier la Dame.— C’est chié chanté, mes beaux Seigneurs, trêve de clabauderie, nous répondit-elle en escambillant les gambettes sur sa nature velue, paillardons incontinent, voulez-vous ! Sitôt dit sitôt fait, voilà la drôlasse mise au montoir, apaquetée sur nos vits, un dans le con, un dans le cul, à s’teure le tétin mignardé par Grattepoil, à s’teure baisée à pleine bouche par moi. Pas chiche face à nos coups de rein, branlant comme si nous étions atteints du mal des ardents. Nous pensions la garce accommodée et dans un grand pensement d’amour, mais voilà qu’elle avise le beau Samuel qui s’acagnardait sur le cul de Grattepoil, le prend au col et lui baise la bouche. Cette chatterie eut l’heur de réveiller les ardeurs du jeune bougre, dont le vit emplit le cul de mon Grattepoil qui poussa un cri de surprise. Elle lui biscotte les pudendas comme cagnasse au bordeau ; se déconne de mon vit, se déchausse de celui de Grattepoil, et va se coller contre lui. Samuel, dans un grand tumulte, enfile la commère à la chaude sous nos yeux atendrézis. Nous restons, mon Grattepoil et moi-même, un instant à poutouner les fesses fermes de l’adorable enfant, et le parpal de l’accorte hôtesse, puis je sens la main de mon Grattepoil sur mon vit encore en gloire et, à la parfin, accepte son invitation en vidant ma semence dans son cul accueillant. Nous quittâmes l’auberge et son émerveillable alberguière à la pique du jour, ...
... et reprîmes la route vers Maespach, la forteresse du Baron mon père, où j’allais rejoindre Miranda Dei Sanctus, la tendre amour qui m’attendait pour, à la parfin, consommer nos noces. En effet, alors que notre union était célébrée, un messager de notre bon Roi Henri le Troisième me manda incontinent pour une mission secrète de la plus haute importance pour le royaume. Je quittais céans la place, dans un grand pâtiment, laissant la jeune épousée encore colombine, le cœur dolent, mais s’accoisant sans rebiquer, car le service du Roi prime. Après moult tumultes, et bien des aventures où j’ai cru mille fois pouitrer, comme on dit en pays d’Oc, mettant à vaudéroute toutes les mouches lancées à mes trousses par les ennemis de mon bon Roi Henri, et déjouant tous leurs remuements. Livrant, autant qu’il m’en ramentevoit, d’ardents combats à s’teure à la brétaille, à s’teure aux douces mignottes rencontrées sur le chemin. À la parfin, ma mission accomplie, fait Chevalier par mon Bon Maître, je pris enfin la route de Maespech avec une volonté irréfragable, que seules quelques alberguières qui ne déprisaient pas de partager leurs couches, avaient pu retarder. Au loin apparaissaient les fortes tours de Maespech et sa barbacane, mon cœur branlait dans ma poitrine. Après avoir testonné nos cheveux et revêtus nos plus beaux affiquets, ne musardant point, nous atteignîmes la cour du château en quelques minutes. Je me précipitai et, sans même saluer le Baron mon père, je fis irruption dans la ...