Gavage dans le garage (1)
Datte: 14/08/2021,
Catégories:
Trash,
... patienter un peu et de retarder l’inéluctable. Mais le fait que ce soit sa petite chatte qui émette de tels bruits de succion et vienne ainsi troubler le silence relatif de la nuit, avait fini par aggraver son état et amplifié encore son excitation. A ce stade de toute façon, un rien pouvait nourrir son emballement. Les yeux fermés, elle avait attendu quelques instants un signe quelconque de la part de celui qui la maintenait à la frontière d’un embrasement sans égal, et qui la retenait encore de céder à un plaisir qu’elle savait être tout proche. -« Monsieuuurrrrrrr !!...., Avait-t-elle essayé de nouveau, ça vieeeennnNNNT !!... » Toujours aucune réponse. Elle avait carrément empoigné son sein et elle avait continué de s’activer comme une forcenée sur son clitoris. Elle n’était qu’à quelques va et vient de la délivrance, tout son corps le lui disait. Elle sentait déjà de petits fourmillements caractéristique naitre dans le creux de ses cuisses et remonter sa moelle épinière, et savait qu’elle ne pourrait bientôt plus s’arrêter, et ce même si on lui pointait une arme à feu sur la tempe en lui intimant l’ordre de mettre fin à ses activités de sédition libidineuse. -« MonsieuurrrRRR !!...., s’enquit elle encore, désespérée, Est-ce-que je peeuuuxxXX ?..» Toujours rien. Très étonnée par cette absence de réaction, Candys ouvrit un œil précautionneux pour voir ce qui se tramait. Monsieur Jacques était là, à l’autre bout de la pièce : il était de dos et finissait de remettre sa ...
... veste, cigarillo encore éteint au bec, tout en bavardant tranquillement au téléphone. Et tout ça sans un regard pour elle. Il était venu chez elle, avait pris son pied, lui avait craché son sperme au visage après lui avoir baisé la gueule et se préparait à repartir tranquillement d’où il venait en sifflotant. Il lui avait fait cela à elle ; à elle une respectable cadre supérieure, mère de famille aimée et admirée de tous. La honte qu’elle avait éprouvée à cette pensée, en comprenant de quelle manière il pouvait encore la rabaisser en faisant fi de son statut social acquis à grand peine, avait été l’étincelle qui avait mis le feu aux poudres. Ça avait était une sorte de déclic, comme si quelqu’un avait appuyé sur la gâchette d’un pistolet à orgasmes. Une puissante décharge d’adrénaline partie de ses glandes surrénales avait déclenché un afflux de dopamine dans son cerveau qui avait eu raison de son obéissance sans faille et l’avait transportée sur les berges d’un ailleurs brillant de mille feux d’où jaillissaient des geysers d’endorphines. Le résultat ne s’était pas fait attendre et c’était en ahanant, secouée par de violents soubresauts chaotiques, cuisses et dents serrées, bouche tordue par le plaisir, main crispée sur son sein droit et doigts de pieds recroquevillés, qu’elle avait pris son pied. Arc-boutée contre la voiture de son mari, elle avait eu l’impression de perdre la tête en faisant une crise d’épilepsie et avait eu toutes les peines du monde à ne pas hurler sa joie de ...