Les mémoires de Popaul
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
f,
h,
fh,
religion,
fgode,
hgode,
délire,
humour,
... doigts en anneaux et me branla lentement, puis frénétiquement. Soudain, sans même relever sa blouse, elle m’introduisit entre ses maigres cuisses, me pressant contre sa culotte. Sans aucun discernement, elle me frotta contre son sexe. Malgré l’épaisseur conséquente du sous-vêtement, je dus me rendre à l’évidence : Marguerite mouillait, et pas qu’un peu. Quarante ans d’abstinence ne se prêtent pas à la retenue. Elle s’était retenue trop longtemps. Cette simple et maladroite friction déclencha en quelques secondes un orgasme dévastateur comme jamais Laurence, malgré ses jeux sophistiqués, ne m’avait offert. Son corps fut agité de tremblements incontrôlables, se tendit, et soudain elle hurla hystériquement. Je n’ai pas vraiment compris ce qui s’était passé, mais j’étais étroitement enfoncé profondément dans son vagin. Tout aussi soudainement son corps s’avachit. Elle me retira précipitamment et me jeta violemment contre le carrelage.« Pourvu que mes mécanismes ne soient pas esquintés… » — Maudit sois-tu ! Suppôt de Satan ! Vade retro, Satanas ! Qu’est-ce que j’ai fait ! Pardon, Seigneur ! La tentation ! Je suis indigne d’être ta fille. Complètement chtarbée, elle tomba à genoux et se mit à psalmodier ce qui devait être une prière en se signant. Durant ce repentir, je pris conscience de la rougeur de mon gland. Au jus abondant de mademoiselle de la Craquette se mêlait un peu de sang. Malgré ma haute technicité, le choc brutal avec le plancher des vaches n’avait pu occasionner ...
... de saignements. Mademoiselle venait de perdre grâce à / à cause de (rayer la mention inutile) moi sa virginité. Je comprenais mieux sa réaction. Elle n’aurait plus aucune hésitation à souiller sa poubelle. Adieu, mes amis du jardin. ********** Souvent femme varie… Elle se releva, me prit en main.« Ça y est, cette fois ton compte est bon. » Surprise : un bisou sur mon méat. — Je ne peux pas te laisser comme cela, mon amour. Il faut que je te nettoie. Et voilà, ça recommençait. Direction la salle de bain, puis le soir la chambre. Marguerite avait vraiment beaucoup de retard à rattraper. La semaine qui suivit, je ne vis pas beaucoup le jour : je passais plus de temps dans sa chatte qu’à l’air libre. Insatiable ! Son logement jouxtait l’école où elle enseignait. Elle se débrouillait pour s’absenter durant la récréation pour une petite baise rapide. Je commençais à l’apprécier. Rien à voir avec Laurence. Au corps voluptueux de celle-ci, Marguerite opposait une silhouette de petite souris asexuée. Aux envies sophistiquées souvent perverses de la première, la seconde se distinguait par la simplicité de ses besoins. Pas de fellations, pas de dépravations d’aucune sorte. De la tendresse, des bisous, des caresses sur ma hampe avant et après la pénétration. Le seul point commun : comme Laurence, elle me parlait. L’énorme différence, après chaque jouissance, pendant qu’elle me nettoyait, j’avais droit à sa repentance, demandant pardon au Seigneur pour avoir péché. Souvent le soir, tandis ...