1. Les mémoires de Popaul


    Datte: 15/08/2021, Catégories: f, h, fh, religion, fgode, hgode, délire, humour,

    ... qu’elle priait encore, sa main entamait une caresse sensuelle sur ma tige. Le plus loufoque arriva lorsqu’elle m’aspergea, me récura avec de l’eau bénite : chassez le naturel, il revient au presbytère ! Après plusieurs semaines de félicité, sa culpabilité prit l’ascendant. Un jour, après la classe, elle apparut avec un Africain ensoutané : l’abbé Rurier. La naïve s’était confessée ; l’autre voulait voir le corps du délit. Suspect ! Le curé m’avait pris sans aucune hésitation. Je compris instantanément que je n’étais pas le premier qu’il tenait. Pauvre Marguerite ! Devant mes oreilles (encore une mets-toi-fort pour les maldisants) ébahies s’engagea une conversation surréaliste. — Ma fille, pouvez-vous m’expliquer comment vous vous servez de ce objet ?— Mais, mon père…— Si vous voulez que je puise appréhender la hauteur de votre péché, ma fille. Seulement, pour cela j’ai besoin d’y voir clair.— Mais…— Ma fille !— Je le mets entre… mes cuisses, balbutia Marguerite, honteuse.— Oui. Et ensuite ; ma fille ?— Jelagitedavantenarrière, débita-t-elle d’une seule traite.— Comment ? Je n’ai rien compris, ma fille. Répétez plus lentement s’il vous plaît.— Je l’agite d’avant en arrière, mon père.— Jusque là, je ne vois pas bien où est le péché, ma fille. Ça doit vous faire mal, en plus ?— Non, mon père, dit-elle d’une voix plus ferme, rassurée par l’assertion hypocrite de l’abbé. Je suis toute mouillée.— Mouillée ? s’étonna-t-il d’une voix enrouée. Vous faites pipi pendant…— Non, ...
    ... mon père ! Ce n’est pas du pipi !— Mais alors, qu’est-ce ?— Une substance un peu grasse que mon corps sécrète quand… Elle s’interrompit brutalement. Horrifié par ce qu’elle allait dire. Mais l’abbé Rurier qui ne maîtrisait plus son excitation enfonça le clou. Pour l’instant, ce n’était que le clou. — Que vous sécrétez quand, ma fille ?— Je n’ose pas…— Je suis votre confesseur ! Cela restera entre nous et Lui. Il désignait le ciel. — Quand je suis excitée.— Vous m’en apprenez de belles, ma fille ! Mais je ne… Il faut que je voie ! Vos explications ne m’éclairent guère. Il va falloir me montrer, Marguerite. La voix du tartuffe devenait rauque. — Vous n’y pensez pas, mon père.— Marguerite, je ne peux vous donner l’absolution pour un péché que j’identifie mal.— Je fais cela dans mon lit, mon père, pas dans la cuisine. L’observateur attentif que j’étais saisit une lueur dans le regard de ma maîtresse. Pas si naïve que ça, la demoiselle : elle avait vite compris le jeu du pervers religieux et ça l’avait excitée. La suite me donna raison. Elle prit un air résigné, refusa obstinément de se déshabiller malgré les demandes du prêtre, mais ensuite elle joua les mijaurées pour ôter sa culotte, montrant ou dissimulant tour à tour sa chatte poilue. Rurier ne savait plus où se mettre. Il ne cessait de porter la main à sa soutane. Ensuite, au lieu de m’enfoncer profondément en elle sans fioritures, elle joua avec moi. Je fis la connaissance de son clitoris. La garce pour la première fois ...