Tranche de vie
Datte: 15/08/2021,
Catégories:
romance,
fh,
couple,
voisins,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... Je l’ai poussée sur le lit où elle est tombée à quatre pattes. Le spectacle qu’elle m’offrait, mélange d’impudeur et de tendresse, d’animalité et de provocation ne me laissait pas indifférent, loin de là. Dans la clarté blafarde de la lune, son corps faisait une tache claire, soulignée par la ceinture de son porte-jarretelles et le noir de ses bas. Ses seins encadrés par ses bras prenaient un relief étonnant ; son sexe mis en valeur par ses fesses luisait d’une humidité prometteuse. Je l’ai pénétrée d’un coup. Ses reins se sont creusés ; elle s’offrait complètement. Mes mains martyrisaient ses seins. Nos cris se sont mélangés lorsqu’elle a atteint son plaisir et que je me suis déversé dans elle en longs jets brûlants. Plus tard, nous nous sommes glissés sous la couette et avons sombré dans un sommeil réparateur. ____________________ Nous avons passé la journée de samedi au lit, remettant au plus tard le footing, les repas et toute autre activité. Arthur a fait les frais de nos débordements : il est venu à plusieurs reprises protester et réclamer sa gamelle, puis il a abandonné. Nous ne l’avons revu qu’à 18 heures quand nous nous sommes levés, repus d’amour et de tendresse. Il s’était couché sur la jupe de Margaux, allongé de tout son long, la tête tournée vers le bout du couloir, miaulant piteusement. Un bref instant, nous avons cru qu’il était malade, voire plus. Lorsque nous nous sommes approchés de lui, à genoux, pour en savoir plus, il a détalé comme un lapin, traversé ...
... le séjour et est reparti par le balcon. — Quel comédien, celui-là ! Je file lui donner à manger ; à tout de suite. Elle est sortie sur le palier, ayant juste enfilé son chemisier, portant à la main son tailleur, ses chaussures et son sac à main. Je l’ai regardée partir, délicieuse d’impudeur, ses fesses rondes à peine cachées par le pan de sa chemise, déjà pressé de la voir revenir. Le téléphone a sonné : mon père s’inquiétait de mon silence. Il est vrai que depuis une quinzaine, je n’avais pas réellement donné signe de vie, occupé par ailleurs. Quel mauvais fils j’étais ! Je ne lui ai rien dit de Margaux mais lui ai annoncé ma visite pour le prochain week-end avec une surprise, sans en dire plus. Ma mère a pris de relais, tentant d’obtenir quelques informations complémentaires. — Une surprise est une surprise : vous en saurez plus jeudi matin au train. Malgré ses protestations, ses cajoleries, je n’ai rien dit. J’ai raccroché au moment où Margaux repassait le seuil du séjour. Elle avait échangé son chemisier contre son déshabillé. — Je ne te dérange pas ?— Non, c’étaient mes parents. Je leur ai annoncé ma venue et une surprise.— Tu aurais dû leur dire, quand même : je vais débarquer chez eux sans qu’ils soient préparés.— Ce n’est pas un problème. Allez, allons dîner. Il y a un excellent chinois que je veux te faire connaître à deux pas d’ici. Ce fut bon, comme d’habitude. Nous sommes rentrés en flânant et avons bien ri en repassant le porche où la veille… Rentrés chez nous – ...