Avec des amies comme ça… (22)
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
Trash,
Au point où j’en étais, ma déchéance était totale. Que ce soit vis-à-vis de ma famille, du lycée, et même de toutes les personnes que je connaissais en ville... pour tous, j’étais connu comme une salope, une nympho. J’étais une paria à qui on ne parlait que si l’on cherchait à tirer son coup. Quand à mes amies, elles m’utilisaient comme jouet sexuel, j’étais leur esclave condamnée à les servir de toutes les façons possibles… toute tentative de rébellion était sanctionnée. Mes fesses avaient beau être tatouées de leurs empreintes, ça ne les empêchait pas de se servir d’un fouet ou de règles sur mon derrière quand elles en avaient envie. Si les choses continuaient ainsi, je me demandais ce que j’allais devenir… Mes amies allaient-elles encore longtemps s’amuser à m’humilier, à se servir de moi comme d’une chienne sans cervelle, ou allaient-elles finir par se lasser de moi ? Et qu’elle serait mon sort dans ce cas ? M’obligeraient-elles à ce que je fasse le trottoir pour que je leur rapporte des sous ? Ou me renverraient-elles chez mes parents, m’obligeant à sucer mon père jusqu’à ce qu’il me pardonne ? Ou me laisseraient-elles tomber comme une merde dans le caniveau, m’abandonnant sans abris, sans soutiens, avec juste ma réputation de plus grosse salope ? Les nuits je pleurais, j’étais désespérée. Mon avenir m’apparaissait bien sombre, tout allait de mal en pis. Jusqu’au jour où… C’était un samedi, comme d’habitude je résidais chez Victoria quand Jeanne sonna à la porte. Elle ...
... expliqua rapidement ce qu’elle voulait : « Tu as besoin de la salope ? — Fifi ? Pas tant que ça, répondit Victoria. Cette conne m’a déjà bien bouffé la chatte au réveil… Je crois que je pourrais m’en passer quelque temps. — Tant mieux, cette pute peut me servir… — Tu veux que je lui passe la langue au savon ? J’aime bien que sa bouche soit propre avant qu’elle ne se mette à travailler sur moi. — Ah non. J’en ai pas besoin pour ça… enfin... pas que pour ça. J’ai une compétition dans trois heures, et j’ai besoin d’avoir un sac d’urine sain avec moi. — Ah, ça, pisser elle sait faire. Bon, je vais te la chercher. » Je n’étais en fait qu’à quelques mètres d’elles. À genoux en train de passer le chiffon dans le séjour. Victoria m’indiqua de passer ma tenue « sportive » et de suivre Jeanne dehors. Ce que je fis avec joie. Entre le père pervers et la fille qui adorait trouver de nouvelles méthodes pour me torturer, je me sentais comme une prisonnière à qui on venait de donner une permission de sortie. Mais bien sûr, Jeanne n’était pas beaucoup plus commode que mes autres amies. Elle était peut-être moins perverse, mais elle compensait par sa brutalité. À peine Victoria avait-elle fermé la porte que Jeanne me donnait une double claque pour avoir trop traînée. Elle ne prit même pas la peine de m’expliquer ce qu’elle attendait de moi, se contentant de me dire : « Suis-moi, pétasse. » Ce que je fis, bien sûr. Elle me donna à porter son sac de sport, il devait contenir sa tenue de course. ...