1. Avec des amies comme ça… (22)


    Datte: 17/08/2021, Catégories: Trash,

    ... qu’elle ressentait s’enfonce bien profondément dans ses entrailles, qu’elle n’oublie pas ce que je pouvais lui faire. L’arrêt était proche d’un petit espace boisé pas très loin de chez Victoria. Je m’y dirigeais et dis à Jeanne : « C’est bon esclave… Tu peux rentrer, je n’ai plus besoin de toi. — M-m-merci… » — Mais avant ça… tu ne peux pas rentrer chez toi avec cette… bedaine. Tes parents se demanderaient qui a bien pu te mettre en cloque… — J-j-je… — Ne t’inquiète pas, j’ai la solution. Allonge-toi sur le dos derrière ce buisson. Tu peux être tranquille, le parc est presque toujours désert.» C’est ce qu’elle fit. Pendant ce temps, je retirais mes chaussures et m’approchais d’elle. Quand elle fut allongée, son gros ventre bien visible, je mis le pied dessus et poussais bien fort ! « Oooooh ! » cria-t-elle. Pendant qu’elle expulsait de l’air par sa bouche, un énorme jet de pisse lui sortit par le bas. Je ne m’arrêtais pas, appuyant du pied avec plaisir, vidant cette outre trop pleine avec entrain. Son jean était trempé et puait la pisse comme c’était pas permis… Je me demandais comment elle expliquerait ça à ses parents, puis ...
    ... décidais que je m’en fichais bien. Moi, tout ce que je voulais c’était de jouer au trampoline avec son ventre. Je me mis debout sur elle, je sentis presque son ventre fondre et se vider alors que j’étais dessus. Au bout de dix minutes j’admirais le résultat. Elle était trempée, mais ne semblait plus être en cloque de huit mois. « Alors tu me remercies de te rendre présentable devant tes vieux ? — Merci Maîtresse… Je vous suis reconnaissante. » Je l’avais vraiment domptée. Restait à savoir si elle finirait par cracher le morceau à nos amies. J’espérais vraiment que non, il fallait que je me venge d’elles aussi, et pour ça, il fallait les prendre par surprise… rbaavw Je laissais Jeanne dans son urine et retournais au domicile de Victoria… J’aurais dû me sentir plus que satisfaite, mais je brûlais surtout de désir de vengeance. Ce que j’avais fait subir à Jeanne avait été brutal et c’était approprié à son sadisme. Les autres aussi subiraient des humiliations à la hauteur de celles que j’avais subies. Si je voulais vraiment me sentir libre, il fallait que mes amies connaissent et ressentent vraiment l’horreur de ce qu’elles m’avaient infligé… 
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