Avec des amies comme ça… (22)
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
Trash,
... elle ; mais c’est elle que j’entendis parler : « Bon, vous n’avez pas besoin de me voir pisser quand même ?! » Il y eut un faible "non" en réponse, et elle s’enferma dans un cabinet. Elle fit passer le gobelet sous la cloison et immédiatement je le prenais et pissais dedans. Avec tout ce que j’avais bu, ça ne me prit que quelques secondes. M’arrêter fut par contre plus compliqué, je fis un effort pour couper les vannes et espérais que je ne l’avais pas trop rempli. Je repassais le gobelet sous la cloison et quelques secondes plus tard Jeanne sortait en disant : « Tenez voilà votre fichue pisse. J’espère que vous êtes content ! » Elle repartit et ne revint qu’une demi-heure plus tard pour me faire sortir des toilettes. Pendant ce temps, des idées étranges rodaient dans ma tête, je n’arrivais pas bien à mettre le doigt sur ce qu’elles signifiaient. Mais c’est comme si un coin de mon cerveau s’était allumé pour me dire de me réveiller. De retour elle tambourina sur la porte pour me faire sortir. Bien entendu, elle n’eut aucun mot de remerciement à mon égard pour l’avoir aidé à tricher à son test antidopage. Mais, pour honnête, je m’y attendais, tout comme je ne fus pas surprise quand à peine sortie du centre, elle me tira par les épaules jusque dans un coin isolé. Là, elle fit pression sur mes épaules pour que je m’agenouille et s’exclama : « Putain, ça m’a excité, lèche-moi ! » Elle retira son short et sa culotte, puis comme à l’accoutumer j’enfonçais ma langue dans son ...
... intimité. J’étais maintenant complètement habitué à fourrer ma langue dans le trou visqueux de mes amies, à tel point que je ne savais pas si j’étais lesbienne ou non. Je veux dire, je ne peux pas dire que je fantasme sur le fait de lécher des chattes, mais rien ne me semble plus naturel que de le faire. Mais dans ce cas-là, elle puait la sueur et la transpiration, je la sentis mettre les mains sur ma tête pour que je ne puisse pas me dégager pendant que je lui lèchais l’abricot. À ce moment, tout changea pour moi. Je n’avais pas envie de lécher une moule puante, je n’avais pas envie d’être le jouet sexuel de mes amies. Et pour la première fois, je sentis confusément que j’avais l’opportunité de commencer à me dégager du mauvais pas ou je m’étais fourrée. D’un geste, je me projetais en arrière pour éviter qu’elle ne me saisisse les cheveux et criais bien fort : « NON ! » — Hey salope, tu crois que je te demande ton avis. — Non, alors tu sais quoi ? Je retourne au stade, et je leur dis que l’urine c’est la mienne, que tu es dopée comme une mule. Et là, tu seras interdite de compétition. Qu’est-ce que tu en dis ? — Tu feras pas ça, salope. — Non ? — Non, sinon… et bien je le dis à Hélène. — Et alors ? — Et alors ? et bien… elle va trouver quelque chose qui te fera regretter de m’avoir menacée. — Sans doute que tu as raison… ça, je le sentirais passer. Mais en attendant, toi, tu seras exclu des compétitions pour les dix prochaines années au moins. Alors pendant qu’Hélène me fera ...