Avec des amies comme ça… (22)
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
Trash,
... souffrir, faudra que tu penses à changer des vœux sur Parcoursup… je ne crois pas qu’ils acceptent les sales tricheuses en école de sport. — Tu vas pas faire ça… — Non ? Regarde-moi bien alors… » Là-dessus, je m’éloignais d’elle pour me diriger vers le centre athlétique, bien décidée à dévoiler toute la vérité sur les mensonges et le dopage de mon amie. J’étais en train d’ouvrir la porte d’entrée quand je sentis une main se poser sur mon épaule... Jeanne avait remis son short et avait couru pour me stopper ; elle se mit à m’implorer : « Non, attends… je t’en prie, ne fais pas ça… répéta-t-elle. — Bon d’accord, je vais pas faire ça. Et tu sais pourquoi ? — Euh… non… — Parce que tu vas te mettre à genoux et que tu vas me lécher la chatte, pouffiasse. » Un moment passa, peut-être dix ou vingt secondes qui me parurent durer des minutes entières. J’avais l’impression que les mots que je venais de prononcer ne pouvaient pas vraiment sortir de ma bouche... Jamais je n’aurais dû avoir le droit de dire ça, et pourtant je l’avais dit… Jeanne était estomaquée par mon audace : « Tu rêves ! » Mais je voyais à son air angoissé que c’était plus un souhait qu’un refus. Il y avait d’un côté son avenir en jeu, et de l’autre simplement moi. Il était évident qu’il suffisait que j’aille au bout de ma menace pour qu’elle rende les armes. « Ok, je retourne au centre alors. — Non ! Ne fais pas ça ! Merde ! Qu’est ce que tu veux !? — Rien de compliqué... que tu fasses absolument tout ce que je dis, ...
... et sans rechigner. — Ok… d’accord ! Si ça te fait plaisir, mais tu me jures de ne rien dire sur le dopage. — Tout ce que je jure, c’est que je te foutrais dans une merde noire si tu me fais chier… Et d’abord, mets-toi à genoux. » Et à ce moment, je faillis défaillir. Pendant des mois j’avais été soumise à toutes les humiliations, toutes les vexations ; et là, aujourd’hui, j’avais une des filles qui n’avait cessé de me faire souffrir physiquement et mentalement à genoux devant moi. C’était trop beau pour être vrai. Je voulais conserver ce souvenir en moi pour toujours, même si les choses finissaient par mal tourner. À moitié pour confirmer que ce n’était pas une illusion, et à moitié pour mettre les choses au clair je dis : « Déclare que tu es ma salope. Que tu vas me servir comme une esclave et satisfaire à toutes mes volontés. — je suis déjà à genoux, merde ! Ça te suffit pas ? — Oh que non… Si j’étais satisfaite, je te le ferais savoir. Maintenant, supplie-moi ! — Ah merde… bon, je suis ta salope, ton esclave, je ferais tout ce que tu veux… Voilà… tu es contente, je peux me relever maintenant ? — Hum… attends un peu… » En fait, je venais de voir quelqu’un arriver, et je tenais à ce qu’une personne soit témoin que j’étais la maîtresse de cette chienne. Juste pour le plaisir que ce ne soit pas moi, cette fois, qui soit humiliée. Ça ne manqua pas, un jeune homme ouvrit la porte pour sortir, je fixais des yeux le visage de Jeanne et je jouissais presque de la voir si déconfite. ...