Avec des amies comme ça… (22)
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
Trash,
... Je restais quelques mètres derrière, et l’on marcha une bonne demi-heure sans qu’elle me dise un mot. Je crois qu’elle ne me considérait à peine mieux qu’un chien. J’avais en tout cas l’occasion de l’observer et me comparer à elle ; elle portait un jean neuf qui contrastait avec mon mini-short découpé vulgairement ; un polo blanc Lacoste tandis que moi j’étais vêtu d’une brassière qui me comprimait les seins et me donnait l’air salope. On finit par arriver au centre athlétique de la ville. Il incluait un stade, un grand terrain de foot, un gymnase, une piscine ainsi que quelques cours de tennis. Et il y avait pas mal de monde pour un samedi, apparemment il y avait une compétition auquel participait Jeanne. J’avais compris qu’elle était une sprinteuse, mais je me doutais que ce n’était pas pour que je l’encourage des gradins qu’elle avait besoin de moi. À peine entrée dans le centre, elle me fit aller aux toilettes. Je pensais qu’elle allait me demander à ce que je lui lèche la chatte avant qu’elle ne débute l’épreuve, mais à la place elle sortit une grande bouteille d’eau : « Bois ça, poufiasse ! » Je portais la bouteille à ma bouche et me désaltérais. Après avoir fini de boire je lui rendis, mais elle insista : « Bois la bouteille en entier, débile ! » Avant que je ne puisse esquisser la moindre tentative de refus, je reçus une méchante mandale au visage. « Et plus vite que ça pauvre conne ! » La bouteille était d’un litre et demi. Je sentis mon estomac se plaindre à la ...
... perspective de que j’allais faire. Je portais à nouveau la bouteille à la bouche versant cette fois l’eau directement dans ma gorge. Je pris quand même cinq minutes pour tout boire. Je me sentais l’estomac rempli à sa capacité maximale, prêt à craquer. « Écoute, j’ai un sprint qui commence dans un quart d’heure. Pendant que je serais absente, tu as l’interdiction de pisser. On m’a prévenu qu’il y aura un contrôle antidopage, alors quand je reviendrais, il y aura un surveillant avec moi. Il ne faut surtout pas que tu fasses de bruit, j’entrerais dans la cabine voisine de gauche et je te ferais passer un gobelet sous la cloison. Tu pisseras dedans. Avec toute l’eau que tu as bue ça ne devrait pas te poser de problème, mais ne le remplit pas trop non plus. Je ne veux pas que ta pisse dégueulasse me déborde sur les doigts. Ensuite, tu restes silencieuse juste à ce que je sorte des toilettes, ce n’est qu’à ce moment que tu pourras pisser comme tu veux. Puis tu attends que je revienne te chercher. Tu as compris ? — Oui, Jeanne. — J’espère pour toi, parce que s’il y a le moindre problème, tu n’imagines même pas ce que je te ferais subir. » Jeanne partit sur ces menaces, et il ne me restait plus qu’à attendre. Au moins, je n’avais rien d’humiliant à faire. Je me demandais combien de personnes sur terre pouvaient trouver qu’être enfermée dans des chiottes s’apparentait à une sinécure. Une heure plus tard j’entendis Jeanne entrer. Les bruits de pas indiquaient que quelqu’un était avec ...