Avec des amies comme ça… (22)
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
Trash,
... de façon disproportionnée et dégoûtante. Puis au bout de deux pas, elle tomba au sol. Elle n’était pas habituée à avoir une telle masse dans l’estomac. Mon premier instinct aurait été de l’aider à se relever, mais je me repris vite. Il fallait que je lui montre qui était la patronne, je ne pouvais pas montrer de faiblesse ou elle risquait de penser qu’elle pouvait me trahir. Je lui donnais donc plutôt un coup de pied dans les fesses : « Lève-toi ! Plus vite que ça, esclave ! » Je l’entendis péter. Je n’en fus pas trop surprise, il était évident que mon coup de pied et son estomac rempli allaient produire cet effet-là. Dire que deux heures plus tôt j’étais la salope de cette pétomane... Elle finit par se remettre debout, mais évita de trop bouger. Elle prenait l’habitude de son nouveau centre de gravité. Pendant ce temps, je pris une serpillière et épongeais vite fait sa pisse. Puis je posais le tissu imbibé d’urine sur sa tête. Je lui demandais de se tourner et de me sourire en faisant un signe du pouce pendant que je la prenais en photo. La pose était saisissante. Son ventre débordant de son polo donnait l’impression qu’elle était enceinte, mais l’allure générale qu’elle donnait était celle d’une abrutie : La pisse lui dégoulinant sur les cheveux, son sourire hésitant qui avait l’air d’être celui d’une débile, son jean ouvert et trempé d’urine qui la faisait passer pour une attardée mentale incontinente. Je la fis sortir du local, puis du centre, je l’autorisais alors ...
... seulement à retirer la serpillière de sa tête. On alla ensuite à l’arrêt de bus. Il ne fallut attendre que quelques minutes avant l’arrivée d’un car. Je lui dis qu’on allait monter dedans. Elle hésita : « C’est que… j’aurais besoin de faire pipi… — J’en ai rien à foutre. » Je montais dans le bus, elle hésita un instant puis me suivit. Le car était à moitié plein, et je trouvais facilement une place. Jeanne voulut s’asseoir à côté de moi, mais je l’en empêchais : « Tu ne t’assois que si je t’y autorise, esclave. » Elle resta debout, dans l’allée centrale. Je la regardais attentivement et au bout de cinq minutes elle grimaçait méchamment, et sautait d’un pied sur l’autre. Elle se pencha vers moi : « J’aurais vraiment besoin de descendre pour faire pipi. — On descendra quand je le déciderai, maintenant, tais-toi. » Deux minutes plus tard, j’entendis un bruit d’eau. Elle pissait dans sa culotte. Je ne fus pas la seule à le remarquer. Les conversations que j’entendais derrière moi étaient du genre : « Quelle cochonne ! Elle n’a pas honte ? » « Non, mais c’est dégueulasse ! Y a vraiment de ces souillons de nos jours. » « Regarde cette pute ! Elle se pisse dessus la conne. » « Oh bordel ! C’est qu’elle pue ! » Bien sûr, beaucoup se mettaient à la prendre en photo ou en vidéo… Je pouvais la voir rougir de honte, elle pleurait même. Comme si moi je n’avais pas pleuré... cette conne n’avait que ce qu’elle méritait. J’attendis encore cinq arrêts avant de descendre, le temps que la honte ...