Avec des amies comme ça… (22)
Datte: 17/08/2021,
Catégories:
Trash,
... la vis se mettre à pleurer, elle n’avait pas tort, ça lui permettait d’évacuer de l’eau. En tout cas, j’ouvrais la cinquième bouteille et versais à nouveau, avec une petite pause au milieu avant qu’elle ne finisse par tout boire. Je décidais de lui donner une nouvelle chance ; je retirais le plot de sa bouche. Je la vis d’abord chercher à respirer de l’air, puis à supplier : « Pitié ! J’en peux plus ! Je vais crever ! — Ben, ce ne serait pas une grosse perte… — Je t’en supplie ! Arrête ! Je ferais tout ce que tu veux. — Ça, j’y compte bien, après tout qu’est-ce que tu es ? — C-ce que je s-s-suis ? J-j-je suis ta salope ! ta pute… je suis tout ce que tu veux. — Tu es mon esclave, crâne de piaf, ma chose… Et avant ça, qu’est-ce que tu étais ? — Je… j’étais méchante ? — T’étais une connasse ! Une pouffiasse ! Salope ! Sale pute ! Et qu’est-ce que tu aurais fait si j’étais à ta place et que je te demandais d’arrêter ? Hein ? Qu’est-ce que tu aurais fait ! — J-j’aurais arrêté ! Pitié… je… » Je lui remis le plot bien profondément dans sa gorge, et sans attendre je débouchais une nouvelle bouteille pour la lui verser dedans. J’étais en rage ! Cette salope... elle refusait encore de reconnaître comme elle avait été cruelle, comme elle s’était comportée en ignoble pute avec moi. J’allais lui montrer. Cette fois je versais la bouteille d’un coup, pas une seule pause, elle dut tout avaler. Et ce n’était pas fini. J’en ouvrais une autre et commençais à verser. Je voyais qu’elle ...
... pleurait, qu’elle se pissait dessus aussi. Quelle conne. Mais je me sentis me calmer. Cette fois, je fis trois bonnes pauses pour vider la bouteille. Je me sentais généreuse. Quand je jetais la bouteille derrière moi, je me rendis compte que du pack de huit bouteilles d’origine, il n’en restait plus qu’une. Je réfléchis un instant, sept bouteilles d’un litre et demi, ça faisait… Dix litres et demi. Je regardais à nouveau Jeanne. J’entendis un « plouc ! » Le bouton de son jean avait cédé. Son ventre avait grossi de dix kilos. Elle qui était sportive et tonic, on aurait dit une baleine. Une baleine échouée dans sa pisse. Je retirais le plot. « Pitié… je t’en supplie ! J’étais une vraie connasse ! Je mérite tout ça… Mais j’en peux plus… Pitié, maîtresse… Je serais ton esclave, je ferais ce que tu veux… Mais plus d’eau. » J’étais un peu mal à l’aise. J’étais peut-être allée trop loin. Elle avait quand même dix litres de flottes dans le ventre. Mais j’essayais de faire comme si je pensais encore à lui en rajouter. « Bon, tant que tu te comportes comme une bonne esclave, je pourrais faire preuve d’indulgence, j’espère que tu as compris la leçon. Ne m’énerve pas, où tu le regretteras. — Oui ! Oui ! Pitié… Je serais ta pute ! Tout ce que tu veux… Je n’aurais jamais dû me comporter comme une garce avec toi ! Je regrette ! » Je retirais le filet de tennis autour d’elle. Elle commença à se lever. Le reste des boutons de son jean finirent par être éjectés, son ventre bombait hors de son pantalon ...