1. Avec des amies comme ça… (22)


    Datte: 17/08/2021, Catégories: Trash,

    ... Se trouver dans cette situation d’abaissement lui faisait baisser les yeux de honte. La pensée de ce que ce type pouvait supposer d’elle lui faisait rougir les joues. La crainte qu’elle ne se fasse rapidement une réputation de sa salope lui faisait plisser le front. Je ne résistais pas à en rajouter. Je parlais bien fort pour qu’elle sache que l’homme m’entendait : « Très bien Jeanne, tu obéis comme une bonne salope. C’est un bon début. Mais on va voir si tu es prête à m’obéir comme une vraie chienne. » J’attendais une réponse, mais je compris vite qu’elle n’osait pas parler. La honte lui avait cloué le bec. Ce n’était pas plus mal. « Viens, chienne. » J’ouvrais la porte du centre et entrait, Jeanne me suivit. Elle s’était remise debout, mais n’avait l’air beaucoup plus fière que quand elle était à genoux. Je ne connaissais pour ainsi dire rien du centre sportif, à part les toilettes… C’est justement là que je l’emmenais. En entrant dans les W.C., je sentis Jeanne hésiter derrière moi je lui lançais d’un ton méchant : « Suis-moi, sale conne. » Elle me suivit, j’entrais dans une cabine et refermais quand nous y fûmes toutes les deux. « Tu sais ce que j’attends de toi je crois. » Jeanne me regarda un moment, vingt bonnes secondes... Espérant voir dans mes yeux que je plaisantais ou que je n’avais pas le courage d’aller jusqu’au bout. Mais non, mon regard était dur, sans pitié et surtout libidineux. Elle se mit donc d’elle-même à genoux pendant que je retirais mon ridicule ...
    ... short et mon string jaune. Je la vis grimacer en s’approchant de ma chatte, hésiter à tirer la langue… Je me régalais de sa honte, puis je sentis enfin sa langue me toucher la chatte. C’était la première fois. Je sentis sa douce petite langue commencer à s’enfoncer dans mon abricot. Je compris vite pourquoi je passais autant de temps entre les jambes de mes amies, c’était délicieux ! Je me sentais frissonner en sentant l’intrusion tendre dans ma chatte, les léchouilles contre mes parois sensibles. Quelle salope ! Sans même y réfléchir, je pris sa tête entre mes mains pour la coller contre ma fente ; comme elles me le faisaient souvent. Je détestais ça quand on me le faisait à moi. J’avais l’impression d’être prisonnière, d’être forcée de lécher pour acquérir ma liberté. Comme c’était autre chose quand on était aux commandes. Comme c’était jouissif de tenir la tête de cette pute entre mes doigts. Je serrais fort, elle ne devait plus avoir le moindre espace de liberté, elle ne pouvait rien faire d’autre que de me lécher. Ses mouvements de langue se faisaient plus rapides, plus pénétrants, plus jouissifs… Je ne pus m’empêcher de gémir : « Gmnnnnn… » J’aurais peut-être dû vérifier s’il y avait quelqu’un dans les cabines voisines... Mais au fond, je m’en foutais. Qu’est-ce que ça pouvait bien faire ? Ce n’est pas comme si je n’avais pas été humilié des centaines de fois en train de faire la salope. Et cette fois, c’est moi qui recevais des gâteries et c’est Jeanne qui devait se sentir ...
«12...456...11»