1. Je suis une pute


    Datte: 21/08/2021, Catégories: fh, prost, facial, Oral journal,

    ... ou d’Afrique que l’on fait venir pour être traitées comme de la marchandise. Je ne suis pas une de ces filles que l’on baise à la chaîne sur les periph’s de certaines grandes villes ou dans des bordels chez nos voisins européens. Ça, c’est une prostitution forcée, que l’on doit bannir en condamnant non pas les filles victimes, mais les proxénètes. Mais ma façon de vivre, je l’assume et elle ne mérite pas le mépris qu’on lui voue régulièrement. Mon annonce en ligne, les appels ont continué. J’avais quelques braves timides mais aussi de ces rustres qui ne se sentent bien que dans une levrette énergique pour ne pas dire un peu brusque. Je savais comment les manier pour ne pas être de la viande dans leurs bras. Ils n’étaient pas mes préférés mais pas les plus nombreux non plus. J’avais rarement, très rarement, un orgasme. Dire que je les ai comptés sur les doigts de la main ne doit pas être loin de la vérité. Du plaisir à jouer avec les hommes, oui j’en ai eu. Même si la passe est assez mécanique, on ne doit pas avoir un problème avec le sexe pour s’adonner à cette activité. Les demandes un peu particulières permettaient de sortir de l’ordinaire, sans forcément toujours aimer. Je continuais à fréquenter les hommes pour le plaisir, c’était meilleur avec eux, mais je me réservais quelques soirées pour mes clients. Au bout d’une année, j’ai pris une décision qui semblait folle mais qui me semblait pourtant couler de source. Je suis devenue une travailleuse du sexe à plein temps, ...
    ... abandonnant mon travail sans remords. Local professionnel, blog, site internet, tenues diverses, jouets intimes et bien d’autres choses encore ont constitué au fur et à mesure l’attirail de la parfaite prostituée en accord avec son temps. Jamais je n’ai vraiment remis en cause mon choix. Une fois lancée, tout s’est enchaîné sans que je prenne vraiment le temps d’y réfléchir. J’aurais peut-être mieux fait. Environ trois fois par jour, je ne fais pas l’amour, je procure un orgasme à un public essentiellement masculin. Cela ne m’empêche pas d’aimer, de vivre au quotidien, de profiter de la vie, d’avoir les mêmes angoisses que tout le monde. Je fréquente un homme depuis maintenant plusieurs mois. Il connaît ma situation, non ce n’est pas un cliché à la Pretty Woman, et l’accepte. C’est plus difficile pour lui qu’il ne veut bien me l’avouer mais il sait que si je donne mon corps jamais je ne donne mon cœur. Ce n’est pas beaucoup plus facile pour autant. J’ai deux facettes mais je ne mens pas. D’un côté je suis la travailleuse du sexe, de l’autre je suis la femme. C’est le prix qu’il devra payer encore quelque temps pour m’avoir à lui. D’un autre côté, il profite aussi d’une certaine façon de la situation. La fréquentation de mes clients m’a porté vers de nombreux jouets sexuels, des mises en scène, des pratiques qui ne sont pas fréquentes dans tous les couples. Je puise dans les fantasmes de mes clients pour faire varier ma vie sexuelle. Nous jouons parfois avec un ou une troisième ...
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