1. Je suis une pute


    Datte: 21/08/2021, Catégories: fh, prost, facial, Oral journal,

    ... partenaire. Je mets en scène une tenue d’écolière ou d’infirmière dévouée, je l’excite parfois jusqu’à ce qu’il me prenne dans des endroits inconvenants. Une femme amoureuse est une aussi une femme désireuse. Parfois, tout simplement, je me blottis contre lui, il s’introduit délicatement en moi et me câline jusqu’à ce que nous soyons repus tous les deux. Je sais aussi que le lendemain en fin de matinée, je me ferais prendre par Germain, un petit retraité de 64 ans. Il est veuf depuis quelques années. Il est bien brave, il me prend à quatre pattes. C’était la position préférée de sa femme. Il n’a plus le cœur d’en rencontrer une autre pour finir sa vie en douceur mais a encore des besoins corporels. Alors il va me secouer quelques minutes avec sa bite toute molle, va vider deux ou trois gouttes dans son préservatif. Les trois-quarts d’heure restants, il me parlera tantôt avec le sourire, tantôt avec de la nostalgie de sa femme, de leurs vacances, de nuits endiablées qui ont eu lieu il y a 40 ans. Je vais l’écouter, le faire parler, le réconforter. Certes, il aura introduit son pénis dans mon vagin, il aura laissé un brin de sa semence au fond du caoutchouc, mais surtout il aura parlé quand ses hormones se seront tues. C’est cela aussi, être une professionnelle du sexe. C’est vrai qu’ils ne sont pas tous comme lui et certains ne viennent que pour me baiser ou assouvir une envie. Mais la très grande majorité est courtoise, polie et sûrement plus attentionnée envers ma personne ...
    ... que ceux qui m’ont baisée durant mes jeunes années. Rien ne me destinait à vendre mes talents sexuels. J’ai eu un jour un déclic qui m’a libérée vis-à-vis du plaisir. J’ai appris à le prendre sous toutes ses formes. Cela ne voulait pas dire irrémédiablement que j’allais le monnayer. Je l’ai fait et, à mes yeux, je ne suis pas plus vénale que celle qui, mariée ou non, légitime ou non, fait la promesse puis s’exécute d’une pipe contre un cadeau ou une faveur, que celle qui se fait offrir le restaurant avant d’ouvrir les cuisses alors qu’elle ne veut que cela. Chaque femme a fait cela au moins une fois dans sa vie, plus ou moins consciemment. Est-ce différent de ce que je pratique ? Accepter un restaurant de la part du beau brun par qui l’on veut se faire prendre, une pipe contre un cadeau, des cuisses écartées pour un remerciement, tout cela n’est qu’une forme d’échange entre un plaisir sexuel et une contrepartie. À lire les confessions d’une pute, j’en suis toujours une à vos yeux, vous auriez aimé plus de trash, plus de sexe. D’une fille coincée devenue facile puis prostituée, vous auriez aimé plus de pipes, de parties à trois et d’éjaculations faciales sur deux lesbiennes. Ce sont des confessions, pas un film porno à regarder sur internet, ce n’est pas la même chose. Il est vrai que j’aurais pu vous en raconter plus mais, je vous jure, avec youporn, vous aurez l’image et le son. Pourquoi je viens vous raconter tout cela ? Je ne le sais pas exactement moi-même. J’avais besoin ...
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