Carole W.
Datte: 24/08/2021,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
confession,
... nerveux, je prends une clope et la fume en la regardant droit dans les yeux. Elle me paraît belle et bizarre à la fois. — J’ai vu ta copine mardi, lui dis-je.— Nicole ?— Oui !— Comment tu l’as eu ?— Elle m’a appelé ?— La conasse, elle a dû fouiller dans mon téléphone. Qu’est-ce qu’elle voulait ?— Elle me demande de ne plus te voir. Elle prend un air nerveux. — Une vrai emmerdeuse, je ne peux plus la moufter, elle fait toujours ainsi avec mes amis.— Pourquoi ? dis-je.— Je ne sais pas !— Elle m’a parlé de votre liaison.— Je ne comprends pas, dit-elle, blême.— Ne te sens pas gênée, je ne te demande pas de comptes, dis-je. Elle s’énerve. — Et pourquoi tu me demanderais des comptes, je n’ai rien fait, dit-elle avec colère.— J’ai pas dit le contraire !— Ce n’est pas de ma faute si je ne supporte plus les hommes, dit-elle dans la même lancée névrotique, leur égoïsme et leur suffisance. Tu ne connais pas Claude, toute sa vie a été de trouver du business, de rembourser ses dettes et de courir les jupons.— Mais Claude, ce n’est pas tous les hommes, lui dis-je.— Je sais, dit-elle radoucie, c’est pour ça que j’aime les hommes… oui… plus que les femmes, en tout cas. Je souris largement et elle fait de même. Je lui dis : — Tu es libre, tant que tu es heureuse.— Je n’ai jamais été heureuse, me dit-elle, en se rapprochant de moi. Oui, je n’ai jamais été vraiment heureuse, peut-être le serais-je avec toi ! Qui sait ! Elle parle sans conviction, mais elle me paraît douce et délicieuse. Sa ...
... crise à fait rougir sa peau ce qui la rend succulente, j’ai envie de la manger, déguster. Elle laisse traîner sa main entre mes cuisses. Là, elle sent quelque chose. — Il y a encore quelque chose sur ton dossier, me dit-elle du bout des lèvres, comme tu t’en vas pour un mois.— C’est quoi ? lui dis-je en passant mes mains sur ses cheveux.— Si tu veux qu’on aille vite, écrits-moi une procuration, me dit-elle, je m’occupe de tous les détails. Tu auras une bonne somme, et je peux t’en avancer un peu. Je la regarde de biais, en levant un sourcil. — Une avance, comment ? lui dis-je. Elle me pousse d’une main et me dit : — Tu es vraiment dégueulasse, je n’aurais pas dû m’occuper autant de ton cas. Puis elle se penche sur moi et colle sa joue contre la mienne. — Tu sais que nous n’avons pas encore couché ensemble, me chuchote-t-elle. Je mets ma main droite sur l’ouverture du col de son pull-over, je remonte aux clavicules, puis j’avance sur la base de son cou. Je sens sa chair lisse, je m’attarde. Elle chuchote : — Tu apprécies mon cou ! Tout en parlant, elle bascule sa tête en arrière pour me laisser admirer son cou et, ne pouvant résister, je l’entoure par mes deux mains. Elle ferme les yeux, tout son cou se couvre de rose, ainsi que son menton et ses joues. Je sens au toucher sa peau tendre et souple, je serre légèrement mes mains autour de sa nuque. Elle me dit doucement : — Aie, tu me fais mal. Je sens soudain que je bande à l’extrême. Sans lui lâcher le cou, de ma main gauche je ...