Carole W.
Datte: 24/08/2021,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
confession,
... brodé de dentelle, je le lèche un coup et je le tire en bas, sa petite toison apparaît, taillée avec soin et magnifiquement dessinée. Je mets ma langue dessus, je la fais entrer, elle bouge et écarte légèrement les jambes. Me parvient son goût salé, j’enfonce ma langue tout excité. Elle appuie de ses mains sur ma tête, j’accélère, je me barbouille un bon moment, jusqu’au nez. Elle jouit, j’ai mal à la bouche, j’écarte la tête alors qu’elle ondule des hanches. Lorsqu’elle se calme, je la doigte longuement, elle jouit à nouveau. Je m’éloigne et me mets à son côté épuisé alors qu’elle ferme les yeux. Deux minutes après, elle ramène ses pieds sur mes jambes, palpe l’entre deux cuisses, toujours rien. Elle se redresse avec peine et remet son pantalon. Elle prend un grand souffle et me demande une cigarette. J’en allume une et la lui donne, et j’en allume une autre pour moi, et remarque soudain que ses yeux sont pleins de larmes. Elle se rassoit à mon côté en projetant de la fumée, et dit d’une voix basse, à peine audible : — C’est l’anniversaire de notre mariage ! Je l’enlace d’un bras, la ramène vers moi et la serre contre ma poitrine, puis je sirote ses lèvres. Elle palpe encore le bas de mon ventre puis se lève. — Il faut que je m’en aille, me dit-elle, en prenant son sac à main, je reste assis sans rien dire. --oooOOOOooo-- Mardi, dix-sept heures, mon portable sonne, je décroche et découvre une voix féminine que je ne reconnais pas. — Oui ! dis-je sans cacher ma ...
... surprise.— Je suis Nicole, nous avons mangé ensemble avec Carole et Jacques, il y a quelques jours.— Oh, oui, je vous reconnais.— Je veux vous parler en urgence.— Rien de grave, j’espère.— Non, rien de grave, me dit-elle, mais c’est urgent. On se donne rendez-vous à la porte d’Orléans, dans un petit bistrot que je connais. Elle porte un ensemble en tweed, strict et chic. Lors de notre dîner ensemble, j’avais su qu’elle était directrice d’une agence bancaire. Elle commande un café, moi un martini. — Je m’excuse pour la gêne, me dit-elle. Il faut que vous arrêtiez toute relation avec Carole. Je ne dis rien jusqu’à l’arrivée de mon verre, je l’ingurgite d’une lampée et m’éclaircis la gorge. Je la regarde étonné. Elle me répète son injonction, plus autoritaire cette fois-ci. — C’est étrange, lui dis-je, pourquoi supposez-vous que j’ai une relation avec Carole ?— Je sais tout, me dit-elle, je sais exactement tout ce qui s’est passé entre vous.— Même si c’est vrai, lui dis-je, vous ne voyez pas que votre demande est déplacée ?— J’ai mes raisons, et je vais vous les exposer.— Il n’y a rien entre moi et elle, dis-je fermement, c’est qu’une relation de boulot. Elle avait allumé une cigarette, elle l’éteint, puis elle prend son café d’une main. — Écoute, je connais Carole depuis de longues années, et elle m’avoue tout.— Si elle vous a parlé d’une relation entre nous, elle vous ment.— J’ai aussi mes propres yeux, et un peu d’instinct. J’observe du regard ses mains solides, avec des ongles ...