Carole W.
Datte: 24/08/2021,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
confession,
... j’avale une aspirine. — Je veux t’embrasser, lui dis-je en levant les yeux. Sous l’effet de l’alcool, j’ai du mal à articuler. Elle baisse la tête, peut-être de timidité, je rapproche mon fauteuil et l’enlace d’une main. — On va chez toi, me dit-elle. L’idée m’avait effleuré, mais j’avais honte du désordre de mon appartement, et de sa taille. Nous voilà chez moi, sur le canapé vert avec des trous. Elle m’approche sa bouche, j’y colle la mienne et sens la pulpe de ses douces lèvres. Je mets une main sur un sein, je le pétris longuement, elle respire profondément, j’inflige le même traitement au deuxième sein. Elle me colle au corps et, par un doux basculement, elle dépose un genou entre mes cuisses, ainsi se rend-t-elle compte que je ne bande pas. Elle prend un peu de distance, et souffle avec douleur. Je veux dire quelque chose, j’ouvre la bouche, mais je n’ai pas pu articuler. La journée a été rude, pleine de maladresse, j’ai trop bu de whisky. — Je m’excuse, Catherine, je suis… Catherine c’était ma femme, je me rends compte de la gaffe. Elle s’éloigne encore d’un coude, avec des yeux ouverts et un visage terni. Je veux lui expliquer que c’était une gaffe due à mon piètre état, mais l’emprise de l’alcool m’en empêche. Je me sens épuisé, je me tais. — Il fait tard, il faut que je m’en aille, me dit-elle après deux ou trois minutes.— Reste encore un peu, lui dis-je.— C’est pas grave, je dois partir, je dois me réveiller tôt demain matin. Au fond de moi, je suis ravi qu’elle ...
... parte, je me lève avec elle. Elle prend son sac à main et me demande la salle d’eau. Deux minutes après, elle en sort en s’étant recoiffée et ayant retouché son maquillage. Elle a remis du parfum aussi, ce qui m’enivre, je me sens mieux. — Je t’accompagne, dis-je.— Pas la peine, j’ai pas peur. Je mets ma main sur son bras, elle se rapproche, je l’embrasse. — Je ne veux pas que tu t’en ailles, lui dis-je presque en l’implorant, reste ! Elle me colle au corps, et palpe mon engin avec sa cuisse, mais rien n’a changé. Elle s’éloigne d’un pas. — Il faut que je m’en aille. Puis elle met une main sur mon visage et palpe mes joues. — T’as trop bu aujourd’hui, rappelle-moi demain, me dit-elle.— Je n’y manquerai pas. Je la vois disparaître dans la cage d’escalier, je rentre et ferme la porte. --oooOOOOooo-- Le lendemain je me réveille à dix heures, je prends rapidement mon café, je donne un coup de balai et je range le salon. Puis je frotte au détergent la douche, la cuvette de toilette et le lavabo. Après, je me mets à la cuisine, je lave le tas de vaisselles et je mets un peu d’ordre dans le frigo. Vers midi, je prends une douche et je me rase, puis je change les serviettes et je les mets à sécher. Vers treize heures Carole m’appelle, elle me dit : — Tu as mangé ?— Non, pas encore.— J’ai fait une pizza, je peux t’en emmener— Avec plaisir. Je me verse un cognac et je me mets sur le canapé, bien content d’avoir fait le ménage. À travers la fenêtre, je vois un bout de ciel nuageux. Après ...