Carole W.
Datte: 24/08/2021,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
confession,
... un quart d’heure, elle sonne. Dès qu’elle entre, je l’entoure d’un bras, elle m’écarte délicatement : — Je t’amène la pizza, mais je ne peux pas m’attarder, j’ai laissé ma fille toute seule, me dit-elle en me tendant la pizza dans un papier alu, je la prends et la garde dans une main. En avançant dans le salon, elle déboutonne son manteau de cachemire tout trempé, je le saisis pour l’accrocher à la fenêtre. Elle porte un pantalon serré en chamois marron et un chemisier jaune à manches courtes, des escarpins à talons hauts, elle a un cul superbe. — Un café, lui dis-je, il fait froid.— Oui, avec plaisir. J’entre dans la cuisine (quatre mètres carrés avec le frigo) et je mets en marche la machine à café sur le micro-onde, lui-même sur un petit meuble jaune de chez Ikea. Je reviens m’asseoir à son côté et l’enrouler d’un bras. Je tente de l’embrasser mais elle résiste. — En attendant le café, je vais aux toilettes, me dit-elle.— Bien sûr, lui dis-je étonné.— Tu peux manger la pizza, j’ai déjà mangé, me dit-elle. Elle s’enferme dans la salle de douche et je reviens à la cuisine, l’eau commence à bouillir et le café dégouline noir et épais. Je débarrasse la pizza de l’aluminium et j’arrache un petit bout, elle paraît délicieuse, mais je n’ai aucune envie de manger. Quand la cafetière se tait, je verse deux tasses que je ramène sur un plateau avec du sucre en morceaux, je dépose le tout sur la table basse et je plonge dans le canapé, les yeux rivés sur la porte de douche. ...
... Lorsqu’elle sort, la fragrance de son parfum me frappe aux nasaux, et s’asseyant à côté de moi ses effluves flottent devant mon visage, mêlés à ceux du café chaud et de mon cendrier plein. Avant de prendre sa tasse, elle enlève ses chaussures et pose ses pieds sur la table basse. Je rive mes yeux sur ses ongles vernis en rouge foncé, et m’aperçois qu’elle fait pareil, avec un regard attristé. Je me mets à genoux et prends l’un de ses pieds entre mes mains, et constatant sa fraîcheur, je le frotte doucement pour le réchauffer. — Il est magnifique, il est parfait, lui dis-je.— Merci, dit-elle du bout des lèvres, toujours avec une apparente tristesse. Je rapproche ma tête pour prendre un de ses orteils dans ma bouche et je mets à le sucer doucement. Du coin de l’œil, je la regarde et trouve qu’elle me suit attentivement, alors que son visage est vide de toute expression. Je lèche les orteils un à un, ainsi que les interstices, puis je remonte par la langue sur le pied, et je butte sur le pantalon. Je me redresse sur mes genoux et je tire vers moi ses pans, elle résiste puis m’aide à soulager l’élastique qui le retient à ses hanches Une seconde après, je le tiens entre mes mains. Lentement je lève les yeux vers ses jambes blanches et brillantes, je les caresse de la paume de ma main, puis je mets la tête entre elles. De la langue, je caresse ses genoux et ses cuisses. Son goût est frais et enivrant, comme si elle venait de prendre une douche. Un peu plus haut, je rencontre un bout d’étoffe ...